mercredi 7 mars 2018

Coup d'un soir ? Ou d'une vie ?

(La photo n'est pas de moi.)

Je sors enfin du bureau, comme d'hab', il fait nuit. C'est comme ça tous les jours. Ce boulot me prend tout mon temps. Je commence à saturer !
Je prends une inspiration. Cette bouffée d'air me fait du bien. Je suis resté enfermé toute la journée enchaînant réunion sur réunion.  Toutes plus assommantes les unes que les autres. Je suis tout engourdi et j'ai besoin de me réveiller un peu.
Une goutte tombe sur mon front. Puis une autre. Il pleut... Merde ! Et j'ai pas de pépin avec moi. Pas envie de rentrer trempé. Fais chier ! Et comme un con, j'ai pas pris la voiture aujourd'hui. 
Ben ouais, ce matin vu qu'il faisait beau, je me suis cru malin de faire un peu de marche à pied vu que j'avais du temps à tuer avant le boulot.
"Marche un peu, ça te fera du bien", que je me suis dit. Ben voyons...

La journée m'a paru interminable. Les collègues de boulot m'ont pris la tête. Pour des conneries en plus. Et le must : j'ai même pas eu le temps de manger à midi. J'ai la dalle.
L'air frais de ce début de soirée me fait du bien. Je respire à pleins poumons et tout mon corps se met en éveil... Jusque dans mon pantalon. Ça me rappelle que ça fait un moment que j'ai pas baisé. J'ai la dalle.

Je me dirige jusqu'au bar le plus proche. Quitte à me mouiller, autant aller décompresser un peu avant de devoir rentrer chez moi comme un con, seul et trempé jusqu'aux os.
Je pousse la porte du premier rade qui se trouve à deux pas du bureau. J'y ai jamais foutu les pieds. En général, j'aime pas traîner dans ce genre d'endroit.
Je jette un œil aux alentours, je suis le seul habillé comme un pingouin, je me sens un peu hors norme d'un seul coup. Comme si tout le monde s'était mis en tête qu'à peine j'aurais mis un pied là-dedans, je serais immédiatement remarqué par tous.
Pas manqué. J'ai tous les yeux braqués sur moi, grand bonhomme d'une 40taine d'années, plutôt pas mal foutu encore et fraîchement débarqué dans un endroit à mille lieux de ceux que je fréquente habituellement. 
On dirait qu'ils n'ont jamais vus un gars comme moi. J'avance en scrutant les gens attablés ou accoudés au bar ou encore perchés sur les tabourets. J'observe. Ils picolent et parlent bruyamment. Tout ce que je déteste. 
Mais ce soir, je veux pas être seul. Je veux pas rentrer chez moi tout de suite. En plus, il pleut. Alors je me fais violence, ça ira pour ce soir. 

Je trouve un coin isolé au fond de la salle. Parfait ! Pas envie qu'on vienne me faire chier.
Un serveur vient à ma rencontre et me demande ce qu'il me sert. Ce sera un bourbon, sec. De là ou je me trouve, j'ai le champ libre sur toute la salle et je m'amuse à guetter discrètement les faits et gestes des gens qui s'affairent autour de moi comme un essaim d'abeille. J'ai toujours trouvé fascinant et effrayant, comment les gens évoluaient dans ce genre d'endroits. Ils s'y sentent comme chez eux, mais comme si il fallait absolument se mettre minable ou parler plus fort que de raisonnable pour se faire bien voir.

Dans tout ce brouhaha, je me suis perdu dans mes pensées et je n'entends pas qu'on me parle. Je lève les yeux vers la silhouette qui me surplombe. Une nana qui me cause. Qu'est-ce qu'elle me veut elle ? Elle est plutôt pas mal en fait. 

Pendant qu'elle me repose la question, je la dévisage puis je jette un coup d’œil furtif vers le bas.
Elle est de taille moyenne, perchée sur des talons hauts. Une jupe crayon sous laquelle un collant ou peut-être des bas ? J'adorerais des bas, que j'aimerais bien déchirer. Elle a l'air d'avoir de jolies jambes. Une silhouette agréable. Des seins qui ont l'air conséquents sous un chemisier blanc. Merde, je commence à bander. C'est vraiment pas le moment.
Ça fait tellement longtemps, qu'un rien me file la gaule. L'autre jour, une greluche m'a frôlé d'un peu trop près dans l’ascenseur avec son cul et hop, au garde à vous. N'importe quoi !

Bref, je fais mine de rien, je réponds à la question de la gonzesse par la négative. Je ne fume pas et ne m'attaquerais jamais à cette daube.
Elle se penche vers moi en me disant que c'est dommage qu'un mec comme moi se retrouve seul. Non mais elle me drague ou quoi ? Je peux sentir son parfum, ni trop fort ni trop délicat. Elle aime les belles choses et ça se voit. Cette femme est distinguée, classe mais pas trop. Pas trop bling bling, pas maquillée comme une voiture volée.
Elle prend soin d'elle et c'est tout ce que je demande à un nana. Belle, propre sur elle, bien habillée, féminine. Une poupée, quoi !
Une poupée que je baiserais bien, là, tout de suite sur la table de ce bar trop fréquenté pour un soir de semaine.
Cette pensée ne me quitte pas. Et je bande encore plus. Bordel ! Faut que je baise. Ou que je me branle. Peu importe, mais faut que je fasse quelque chose.

Mon idée première serait d'aller me taper un 5 contre 1 rapide dans les chiottes de ce bar mais je n'ai pas envie d'être dérangé. J'opte alors pour l'option "je rentre chez moi comme un con". Je règle l'addition et me dirige vers la sortie.
Une fois dehors, j'inspire profondément, ma queue me fait mal... je suis à l'étroit et ça m'obsède. Il pleut toujours. Ras le bol. Je suis de mauvais poil et j'aime pas ça.
Alors que j'allais prendre la route, à pieds, en attendant de trouver le taxi le plus proche, j'entends une voix derrière moi qui m'interpelle. Je me retourne, c'est la nana de tout à l'heure. Allons bon, manquait plus que ça !

"Je vous observe depuis tout à l'heure et je ne peux m'empêcher de vous trouver irrésistible. Ce n'est pas mon genre habituellement de faire du rentre dedans aux hommes, mais vous m'attirez. Je ne saurais dire pourquoi. Certes vous êtes plutôt bel homme, mais je sens quelque chose en vous qui me charme au plus haut point. Votre solitude peut être" me dit-elle.
Tiens donc ! V'là aut' chose !
"Qui vous dit que je suis seul ? Dans la vie, je veux dire" lui répondis-je, avec assurance et un peu de froideur dans la voix.
"Je ne sais pas effectivement mais à vrai dire, je m'en fous un peu pour l'heure."
Elle a de l'aplomb la minette, beaucoup se seraient dégonfler pour moins que ça. J'aime bien. Elle me défie.
Elle veut jouer ? Elle n'est pas au bout de ses surprises. Elle me change mes plans mais je vais avoir ce que je veux depuis des lustres... et elle va en prendre pour son grade. Je sens que je vais bien m'amuser.
"Vous cherchez quoi ?" lui dit-je en m'approchant d'elle lentement, tel un fauve attendant de se jeter sur sa proie.
"Ce que vous voulez ! Vous me plaisez et j'ai l'impression que je ne vous laisse pas indifférent" dit-elle en se rapprochant de moi, son regard dérivant sur ma braguette. Et merde, bien entendu elle a remarqué...
"Vous étiez venu ici pour passer un bon moment, non ? Je n'ai pas envie de vous laisser partir sans que ça soit le cas et j'aurais espéré y contribuer. Qu'en dites-vous ?"
"J'en dis qu'il pleut, que ni vous ni moi n'avons de parapluie. Et qu'on va pas rester plantés là encore longtemps. Je suis à pieds. Que proposez-vous ?"
"J'ai ma voiture juste là. On passe un bon moment ensemble et chacun chez soi après. On peut aller chez moi, j'habite seule, ou bien je vous ramène chez vous, c'est comme vous voulez."
"Va pour chez vous. Je prendrais un taxi depuis là-bas pour rentrer."

Nous voilà partis en direction de sa voiture. Je lui ouvre sa porte, la laisse s'installer au volant puis referme sa portière et monte ensuite à la place du mort.
C'est une belle bagnole, ça confirme ce que je pense d'elle. Son appart' doit être du même acabit.
Sur le trajet, elle pose une main sur ma cuisse, me prenant de court. De plus en plus entreprenante la donzelle. Voyons voir jusqu'où elle peut aller.
Je lui prends sa main et la pose directement sur mon entrejambe. "Fais-moi bander !" 
Je ne quitte pas son visage du regard. Je l'aperçois légèrement écarquiller les yeux alors que sa main commence à me caresser à travers le tissu de mon pantalon.
Alors qu'elle a les yeux rivés sur la route, maintenant elle se mord la lèvre inférieure alors que mon membre durcit au fur et à mesure de ses mouvements. 
Elle me jette un coup d’œil furtif avant de le reporter droit devant elle. 
"On arrive" me dit-elle.

"Gare toi et coupe le moteur !" Elle s'exécute et plonge son regard dans le mien. Je la sens brûlante d'envie. Je m'approche d'elle, la respire discrètement et lui prend le sein droit à pleine main. Je ne la touche pas délicatement. Je veux voir si elle n'a pas froid aux yeux comme elle semble le prétendre.
Elle soupire et gémit déjà. Serait-elle déjà à point ? 
Je veux savoir ce qu'il y a sous cette jupe. Vais-je me heurter à la barrière d'un collant ou bien la miss porte-t'elle des bas ?
Alors qu'on s'embrasse à pleine bouche, ma main se pose sur sa cuisse et remonte en soulevant le tissu et je suis content de ne trouver aucune résistance. Pas même ses jambes, qu'elle ouvre plus grand. Elle ne peut étouffer un gémissement qui me motive encore plus à aller attiser ma curiosité de ce qu'elle a à m'offrir pour cette soirée.
D'un geste brusque, je lui arrache son string. Elle sursaute en poussant un "oh" de surprise. Je suis dur comme jamais. Et pourtant, je l'ai à peine touchée.

"Viens chez moi, je veux pas faire ça ici !" me souffle-t'elle alors que je lui montre son minuscule bout d'étoffe déchiré, avec un sourire carnassier.
Nous sortons de la voiture, et courons nous mettre à l'abri dans le hall de son immeuble.

A peine arrivés devant sa porte et après avoir vérifié qu'il n'y avait personne alentour, sans lui laisser le temps de réfléchir, je la plaque brutalement contre le mur. Sa bouche se colle à la mienne, ses mains passent sous ma veste et cherche les boutons de ma chemise, les miennes lui pétrissent son cul que je rêve de me faire. Non, en fait, cul que je VAIS me faire, sans l'ombre d'un doute. 
C'est sûr, je vais l'enculer jusqu'à ce qu'elle me crie grâce !

Je m'écarte un peu d'elle et la saisit par les cheveux. Je l'incite d'un mouvement de mon bras vers le bas à s'agenouiller devant moi.
Elle s'exécute aussitôt et je la devine bouillonnante.
"Ouvre mon pantalon !" lui dis-je sans une once de gentillesse dans la voix.
Oh sois en sûre, je ne vais pas être tendre avec toi, pensais-je tout bas. Je pris le relais et libéra mon membre en semi érection pour lui coller dans la bouche sans ménagement. "Applique toi et gare à toi si je sens tes dents !"
Et la voilà qui me pompe tout en me branlant. On dirait une vraie pro. Justement, ça ne me plaît pas. Je décide de prendre les devants et je lui baise carrément la bouche. Voilà qui est mieux.

J'alterne va-et-viens légers et profonds, je ne tiens pas à l'achever dès le début. Je tente quelques poussées jusqu'à la garde, histoire de voir ce que la belle est capable d'engloutir. Hey, c'est qu'elle se débrouille bien la salope. Et on dirait qu'elle en redemande.
Elle lève son regard vers moi, une larme roulant de chaque œil faisant couler son maquillage et le souffle lui manquant progressivement. Ça la rend encore plus jolie. Ça m'excite encore plus, je suis maintenant dur comme jamais.
Je continue encore un peu, une main de chaque côté de son visage pour accompagner mes mouvements du bassin. Encore quelques allers-retours avant de sentir la pression monter. 

Je n'ai pas encore franchi le point de non-retour mais je ne veux pas venir trop vite alors je m'arrête net et je me retire brusquement. Un filet de salive s'échappe de sa bouche.

Je me dirige vers sa cuisine me désaltérer un peu puis je me désape. Je reviens vers elle, lui enfourne ma queue à nouveau dans sa bouche pour reprendre un peu de vigueur avant de me retirer à nouveau.
Je ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle, je lui ordonne de se retourner, de se mettre à 4 pattes devant moi et de se tenir immobile.

Je me couvre rapidement d'une capote et présente mon gland à l'entrée de sa chatte sans y entrer. Je fais glisser ma queue, que je tiens dans ma main, d'avant en arrière, suivant les plis et replis de sa fente qui ne demande qu'à s'ouvrir pour me laisser passer.
Je la sens essayer de s'empaler sur moi mais je l'arrête immédiatement d'une claque sur son cul.
"Je t'ai dis de rester immobile ! Pour la peine, je vais te prendre le cul."
Et sans ménagement, c'est donc son fondement que j'explore du bout de ma bite, tendue à l'extrême. Je pousse un peu et le voilà qui obéit et me laisse rentrer progressivement.

Je sens qu'elle se crispe un peu mais ça ne m'arrête pas pour autant. Je ne l'entends pas me dire "Non" ou "Arrêtes !" donc je reprends mes assauts. Je laisse ma main droite descendre entre ses cuisses et rencontrer son clitoris afin de la stimuler un peu de ce côté là et lui faire lâcher un peu la tension le temps qu'elle s'habitue à mon intrusion en elle.
Bingo ! Elle remue la croupe et je sens aussitôt son cul se relâcher, je suis entré entièrement et je peux commencer à la limer.
Elle ne cache pas son plaisir comme en témoignent les cris qui résonnent dans la pièce. Ça m'encourage de plus belle. Elle me dit entre deux gémissements qu'elle ne va pas tenir longtemps à ce rythme là.
Exactement ce que je voulais ! Mais elle peut faire mieux. 
Je ralentis la cadence et décide de prendre mon temps, je sais que ça va la rendre folle et qu'elle va m'en demander encore plus.
La voilà qui me supplie littéralement de la prendre plus fort, plus vite, elle a besoin de jouir et ma queue va la faire décoller.

Alors que je la sens à point, je me retire encore une fois. Je la retourne, la couche au sol, arrache les boutons de son chemisier violemment et déballe ses seins généreux pour les prendre à pleines mains. Je veux la voir prendre son pied.
Je lui prends ses jambes et lui demande de les tenir en l'air, ses cuisses contre elle. Je replante ma queue dans son cul qui n'a montré aucune résistance et recommence à la pilonner sans ménagement.
En appui sur mes bras, l'observant dans les moindres détails, je vois ses yeux dériver vers son entrejambe pour apprécier le spectacle. Mon membre turgescent disparaître et réapparaître en elle par intermittence aura l'effet escompté sur elle, ce qui irrémédiablement a une conséquence fatale pour moi et mon endurance.
Sa violente et bruyante jouissance provoque la mienne. Les spasmes de son cul  répétés autour de ma bite déclenche le flot de déversement de mon foutre qui se répand dans la capote.

Épuisés, mais repus, nous prenons le temps d'échanger brièvement avant que je ne me relève tant bien que mal tant mes jambes ont du mal à me porter.
Un au revoir et merci à ma belle d'un soir et me revoilà reparti, assis dans un taxi pour me ramener chez moi ou je vais plonger dans les bras de Morphée. Seul, comme un con... mais les couilles vides.

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