jeudi 17 novembre 2016

Chaleur torride d'une nuit d'été

Dans la lourde chaleur de cette soirée estivale, c'est avec difficulté qu'elle tente de s'endormir.  La fenêtre de sa chambre est ouverte, le volet également, elle espère ainsi faire entrer ne serait-ce qu'un petit souffle d'air, aussi minime serait-il, il serait plus que bienvenu.

Une heure qu'elle s'est mise au lit, autant de temps qu'elle se tourne et se retourne dans son lit, cherchant son sommeil. En vain.
Elle a chaud. Et aussi étrange qu'il y paraît et bien que trop fatiguée pour trouver le sommeil, elle se sent pourtant de plus en plus excitée à mesure qu'elle sent sa température augmenter dans la chaleur torride de sa chambre.

A peine à moitié couverte par un simple drap, elle est moite et en sueur. Son intimité aussi est trempée. Pensive, elle se laisse aller à quelques divagations coquines et déplace subrepticement sa main posée sur ventre vers son entrejambe.
Elle écarte légèrement ses cuisses, et glisse sa main entre elles, puis la pose sur son sexe humide, palpitant, demandant délivrance et apaisement.
Brûlante, elle ouvre délicatement ses lèvres intimes et glisse un doigt inquisiteur dans son antre chaude et juteuse. Elle ressort aussitôt. Ce n'est pas ainsi qu'elle veut prendre du plaisir en cette soirée caniculaire.

Elle est épuisée et veut du rapide pour ce soir. Elle veut simplement un orgasme ayant pour effet de la faire s'endormir rapidement. Et pour ça, elle a une arme ultime. Une petite botte secrète qu'elle garde précieusement pour certaines occasions. Ce soir ne fera pas exception. Elle allait prendre un aller simple pour le 7ème ciel avec un arrêt au pays des rêves.
Si habituellement, elle aime prendre son temps, faire monter la température progressivement et savourer lentement son plaisir naissant jusqu'à l'accompagner à son apogée, ce soir, il en sera tout autre, elle est bien trop fatiguée pour vouloir faire durer le plaisir trop longtemps.

Elle  s'empare alors de son jouet préféré du moment, celui qui va la faire décoller en un éclair. Cet objet, c'est son « Magic Wand ». Le fameux jouet coquin à la forme de micro dont la tête vibre puissamment pour faire monter le plaisir rapidement et sûrement.
Elle prend soin de l'allumer, de régler sur la vibration qu'elle préfère et le dirige tout doucement, d'abord vers la pointe de ses seins, déjà érigés et sensibles puis elle descend lentement le long de son ventre, passe sur son mont de vénus et caresse très légèrement ses lèvres intimes.

D''une main, elle écarte sa chatte afin de dévoiler son clitoris tout excité. Elle vient y poser doucement la tête de son vibro et se laisser aller aux délicieuses sensations. Elle sent que ça vient rapidement. Il en est toujours ainsi avec son nouveau meilleur ami. Elle se cambre inconsciemment au fur et à mesure des vagues de plaisir qui commencent à la submerger.
Elle suspend brutalement son geste et écarte sa main comme si son jouet la brûlait. Les sensations se font trop brutales sur son fragile petit bouton.
Elle recommence doucement et se laisse alors porter par le plaisir qu'elle ne peut retenir plus longtemps. Son objet démoniaque a raison d'elle et l'emporte aussitôt dans un plaisir sans fin. Intense, libérateur, salvateur.

Elle peut maintenant se laisser porter par le sommeil qui la gagne enfin. Apaisée et épuisée, triomphante de ce combat contre le sommeil, elle fini par s'endormir sur son petit nuage post orgasmique.


N'hésitez pas à me laisser vos impressions.

samedi 12 novembre 2016

Jeux mouillés

Elle se tenait à 4 pattes dans la baignoire vide. Elle tendait sa croupe fièrement à l'homme qui se tenait juste derrière elle et qui contemplait le spectacle qui lui était offert sous ses yeux.
Elle avait sa main droite entre ses cuisses et se caressait sans pudeur. Elle sentait son propre plaisir monter à mesure que son doigt venait caresser sa fente trempée pour s'humidifier puis aussi s'activer sur son clitoris tendu par l'excitation et l'anticipation de ce qui allait arriver par la suite.

L'idée l'excitait comme jamais. Rien qu'à la pensée de ce qu'il allait bientôt lui faire, elle mouillait comme une folle. Elle y avait pensé souvent lors de ses séances masturbatoires, mais sans passer à l'action. 
Aujourd'hui, elle allait le vivre. C'était le bon jour. Elle lui avait demandé quelques semaines auparavant et il avait été plus qu'excité de lui octroyer ce plaisir qu'il allait partager avec elle.
Alors qu'il contemplait la vue qu'elle lui exposait sans honte ni hésitation, il laissait sa main aller et venir sur son membre. Il avait accéléré la cadence et approchait maintenant de l'explosion, et il savait que par la suite ce serait à lui de jouer pour pouvoir remplir sa mission qu'il prenait très au sérieux.

Elle était tout près de laisser éclater sa jouissance mais elle ne se concentrait que sur une chose, son plaisir à lui. Elle savait qu'il en était tout près et elle faisait tout pour retarder son propre orgasme.
Mais elle ne pu le retenir trop longtemps. Elle pensait encore et toujours à ce qu'elle allait subir très bientôt et cette idée eu raison de sa volonté et c'est ainsi qu'elle joui avec une force dévastatrice.
Son corps était secoué de sursauts orgasmiques, qui la traversaient de la tête aux pieds.
Le spectacle déclencha aussitôt la jouissance de celui qui se tenait tout juste derrière elle et il se déversa en longues giclées sur les fesses et le petit trou qui lui faisait envie depuis le début de leur duel masturbatoire.

Une fois qu'il ai fini de se vider, il reprit ses esprits et conserva la position derrière elle qui elle-même avait gardé la pose afin de recevoir ce qu'elle attendait depuis si longtemps dans ses fantasmes, tout en sentant couler depuis ses fesses jusqu'à sa chatte, la semence qui venait de la recouvrir.
Il tenait son sexe en main et se préparait à vider une autre partie de son corps sur celle qui nourrissait ce fantasme depuis un moment. Toujours haletante et tremblante de son orgasme d'une grande intensité, elle regarda par-dessus son épaule et elle le vit concentré sur ce qu'il allait devoir faire. Elle attendait et l'encourageait de plus belle.

Il contenait un besoin naturel pressant qu'il se devait de satisfaire. Et c'est ainsi qu'au bout d'un moment, le temps nécessaire pour lui de se concentrer suffisamment pour se lâcher, et elle senti sur ses fesses ainsi que sa fente maintenant inondée des traces de son propre plaisir et de celui de son amant, ce liquide chaud tant attendu.
Il était en train de soulager sa vessie sur la croupe de celle qu'il aime. Et il se trouvait que la sensation était à la hauteur de ce qu'elle espérait.


J'espère que ce texte purement fictif vous a plu, n'hésitez pas à me laisser vos impressions. Et à relire les anciens texte.


(La photo n'est pas de moi.)

mardi 8 novembre 2016

Crime et châtiments !

A nouveau une petite mise en garde, avant que vous ne vous lanciez dans la lecture de ce texte, comme précédemment, sachez qu'il parle de relation D/s et de BDSM !
Donc si le thème ne vous plaît pas, vous pouvez passer votre chemin, pour les autres, bonne lecture et profitez !

(La photo n'est pas de moi)


Il se tenait juste devant moi... Quel homme magnifique ! Sa posture fixe le révélait dans toute sa grandeur. Torse nu, juste vêtu d'un pantalon, et ses pieds nus... Je baissais à nouveau les yeux en espérant qu'il ne m'ait pas vue le regarder... Manque de chance, comme tout bon Dominant qui se respecte, il voyait toujours tout et s'en était donc aperçu, il me releva le menton avec son index afin que mes yeux trouvent les siens, il me lançait un regard noir et me dit tout bas, d'un ton calme mais autoritaire :
«- Qui t'as autorisée à me regarder ? Tu sais ce qu'il se passe quand tu me désobéis ? »

Car il faut savoir que quand je suis avec lui, je dois systématiquement adopter un comportement très précis : être uniquement vêtue de mes sous-vêtements, me placer à genoux, les jambes bien écartées l'une de l'autre, les mains posées sur mes cuisses, baisser la tête et enfin, regarder par terre.
Je ne dois en aucun cas le regarder et surtout pas directement dans les yeux. Je dois attendre qu'il me l'autorise. Tout comme je n'ai pas le droit à la parole, sauf si il m'y invite. Et je dois répondre uniquement par « Oui, Monsieur ! » ou « Non, Monsieur !» ou encore « S'il vous plait, Monsieur ! »
Si par malheur, j'oublie le « Monsieur », j'en prends pour mon grade.
«- Réponds ! Que t'arrive-t-il si tu me désobéis ? » m'aboyait-il, alors que j'hésitais volontairement à lui répondre.
Car il faut aussi savoir que si en temps normal je lui obéis parfaitement, je me risque quelques fois, mais rarement, pour ne pas m'attirer ses foudres, à enfreindre les règles de temps en temps, car je me suis découvert un côté un peu masochiste que je ne me connaissais pas jusqu'alors... Avant que je ne le rencontre. Je me suis rendu compte que j'aimais quand il me punissait et que j'en redemandais.

«- Vous me punissez, Monsieur ! » lui répondis-je enfin...
«- Et je te punis comment ? » me demanda-t-il.
«- En me donnant une fessée, Monsieur ! Une bonne fessée bien méritée ! »
«- Bien ! Va te mettre en place ! »

Bien décidée à lui obéir cette fois-ci, j'allais donc me positionner comme à l'accoutumée lors des fessées punitives : à genoux devant le banc placé tout contre le mur du fond, je posais ma poitrine sur le banc, les mains bien en haut de mon corps, m'accrochant sur les bords, les fesses bien en évidence, les reins cambrés au maximum, lui donnant accès libre à l'objet de sa convoitise.
Il vint s'asseoir sur le banc, juste à côté de moi, et commença à me caresser les fesses, l'une après l'autre, tout doucement.

«- Tu sais pourquoi je te punis ? » me demanda-t-il, comme avant chaque punition, s'assurant ainsi que je comprenne bien pourquoi il faisait çà.
«- Oui, Monsieur ! Parce que je vous ai désobéi ! »
«- Très bien ! Maintenant, on va se débarrasser de çà, c'est devenu totalement inutile ! » me dit-il d'une voix chaude et rauque qui trahissait son état et qui m'indiquait combien il savourait le pouvoir qu'il avait ainsi sur moi. Il me descendit mon string jusqu'aux genoux, puis me l'enleva totalement avant de le porter à son nez et inspirer profondément en se délectant de mon odeur intime.
«- Hum. Je pourrais te respirer toute la journée ! Et je constate que tu es déjà toute mouillée ! C'est parfait ! Tu es toujours prête pour moi ! » ajouta-t-il avec une pointe d'excitation dans la voix.

Ses paroles me consumaient de l'intérieur, des crampes délicieuses se réveillèrent au fond de mon ventre. Il posa mon string sur le banc à côté de lui.
Tout à coup, il me saisi fermement les cheveux de sa main gauche et les enroula autour de son poignet tout en tirant dessus, ce qui me força à rejeter la tête en arrière. Puis il posa son bras en appui sur mon dos pour me plaquer contre le banc tout en caressant mes fesses quand tout à coup, sa main droite se leva et vint s'abattre fermement sur ma fesse droite, ce qui fit pousser un cri de surprise, même si je m'y attendais.

«- Chuuuut ! » me souffla-t-il, tout en me caressant la fesse rougie par le coup qu'il venait de donner.
« Tu sais que j'aime le silence ! Compte les coups à voix haute, nous allons jusqu’à 10 ! »
«- Un ! » poussais-je dans un soupir de soulagement, afin d'aider à faire passer la vive douleur de ce premier coup.
Et les claques continuaient de pleuvoir, une fesse après l'autre, de haut en bas, puis de bas en haut. De gauche à droite, et de droite à gauche. Il alternait toujours entre une claque légère, puis une autre plus appuyée, et enfin une vraiment très forte, cinglante, et toujours en alternant entre claque et caresse pour atténuer quelque peu la douleur causée par la brûlure des coups. Je savais que ce n'était là qu'une fessée semi-punitive, car il retenait ses coups.

Il était arrivé quelques rares fois ou il était vraiment mécontent, et ou là, j'avais vraiment compris ma douleur, car il se fichait royalement si il me faisait mal ou non, quand il ne se retenait pas, çà se voyait d'entrée de jeu et çà s'en ressentait.
Alors que là, justement, il prenait tout son temps, on était à mi-chemin des 10 fessées. Il était toujours aussi calme, il se maîtrisait, respirait lentement, même si je savais que çà l'excitait, comme à chaque fois. Et moi aussi...
Je sentais cette douce chaleur humide si familière m'envahir au plus profond de moi, et il ne se privait pas de venir s'en rendre compte par lui-même. Il passait sa main entre mes fesses et descendit jusqu'à mon intimité, ses doigts me firent gémir et remuer légèrement des fesses, cherchant à aller à sa rencontre.
Comme pour me priver de cette incitation au plaisir, il s'arrêta net, et enleva sa main afin de se lécher les doigts.

«- Hum, de mieux en mieux ! Allez, on ne s'arrête pas en si bon chemin. On n'a pas fini ! »
Et les coups continuèrent de tomber, suivis des douces caresses que ses mains habiles me prodiguaient, et me provoquaient des frissons jusqu'à l'échine.
«- 8 ! » hurlais-je maintenant, crispée, les dents serrées et les fesses échauffées par les claques toujours plus vives les unes que les autres. Çà, il n'y avait aucun doute, c'était vraiment un expert. A mesure que la fessée arrivait à sa fin, il respirait de plus en plus vite et de plus en plus fort, gagné par le désir et l'excitation, la bosse dans son jean venant confirmer son état.
«- Allez... encore 2 ! » dit-il en haletant, anticipant déjà ce qui allait suivre.
«- 9... »  suppliais-je, quelques larmes coulant le long de mes joues. Enfin, le dernier coup s’abattit violemment, cette fois-ci sur les 2 fesses en même temps.
«- 10 ! » poussais-je dans un cri de désespoir, en tentant de reprendre difficilement ma respiration. Il me frottait à présent doucement les fesses endolories et rouges écarlates, ce qui me faisait du bien.

Il me relâchait en se levant et m'embrassait les cheveux en me susurrant à l'oreille :
«- C'est bien ! Maintenant, je vais te prendre ! »

Il défit le bouton de son jean et descendit sa braguette, en libérant son sexe comprimé. Comme à chaque fois qu'il me punit, il m'ordonne de me mettre à genoux, se tient debout devant ma bouche et me présente son sexe bien dressé que je m'empresse de prendre en main, de lécher, d'embrasser, de sucer, et d'enfoncer au plus loin au fond de ma gorge. J'alternais entre coups de langue et léchage sur toute la longueur de son membre et enfin faisant de lents va-et-viens avec ma bouche.

Il poussait de longs gémissements me prouvant qu'il aimait mes caresses buccales devenues expertes à présent, et d'un coup, il me prit la tête entre ses mains et se mit à me baiser la bouche sans retenue. Puis, après un instant, il poussa son membre tout au fond de ma gorge et resta immobile quelques secondes. J'étais en apnée, ne pouvant respirer convenablement.

Puis il se recula un peu avant de me baiser la bouche à nouveau. J'avais du mal à suivre la cadence mais je fis du mieux que je pouvais et j'y arrivais malgré tout. Je le sentais au bord de l'explosion.
«- Stop... ! Arrêtes... ! Je ne veux pas venir comme çà ! » me susurrât-il, haletant, se retirant de ma bouche.

Puis il vint se placer derrière moi, posa ses mains sur mes hanches et son gland à l'entrée de mon sexe trempé de désir et poussa légèrement son bassin en avant, me pénétrant sans ménagement, et bien qu'étant facilité par mon état d'excitation, il me pilonnait sans merci et laissa exploser son désir. Je vins à la rencontre de chacun de ses assauts et lui rendit coups de reins pour coups de reins... Il ne fallu pas longtemps pour qu'il laisse éclater sa jouissance et explose en moi. Il me laissa sur ma faim. Bien sûr, c'était fait exprès, c'était son but. Son plaisir, à lui.
Reprenant ses esprits, il se retirait en me disant :
«- Toi, tu n'as pas le droit de jouir ! Du moins, pas tout de suite ! Quand le moment sera venu, je te le ferais savoir ! » me dit-il tout en se rhabillant.
«- Allez ! Debout ! Je n'en ai pas encore fini avec toi ! » m'ordonna-t-il en allant chercher quelque chose dans un tiroir de la commode.

Pantelante, je me mis sur mes jambes qui avaient du mal à me porter, j'étais encore toute excitée de cet assaut et je n'aspirais qu'à une chose, être libérée de mon plaisir qui montait au fur et à mesure que les minutes passaient. J'avais toujours au fond de mon ventre cette irrésistible envie d'exploser de désir en hurlant mon plaisir. Mais il me le refusait pour le moment. Çà lui procurait un malin plaisir et un sentiment de toute puissance qu'il avait à juste titre. Mais malgré tout, j'adorais çà moi aussi. Et je désirais par-dessus tout lui faire plaisir, car si je lui fais plaisir, il sait me le rendre. Je pris donc à nouveau la position initiale en attendant son prochain ordre.

Je l'entendais s'affairer vers le lit qui trônait au milieu de la pièce. Je risquais un coup d’œil sur ce qu'il faisait, il était de dos, donc il ne pouvait pas me voir, j'en profitais pour le dévorer des yeux, superbement bien bâti, grand, tout en muscles que je ne me lassais jamais de voir bouger à chacun de ses mouvements.
Je fantasmais sur ses magnifiques fesses musclées que renfermait son jean, ainsi que sur le renflement au niveau de la braguette qui laissait deviner ce membre bien conséquent. Membre que j'adorais par-dessus tout avoir en moi, dans ma bouche ou dans mon intimité. Un membre béni des dieux, véritable cadeau de la nature permettant d'accorder des sensations les plus intenses au plus profond de mon être.
Oh, que j'attendais avec impatience d'avoir ce sexe bien gonflé à nouveau en moi, de quelque façon qu'il lui plairait...

Il revint enfin vers moi, j'avais pris soin de baisser le regard bien avant qu'il ne se retourne et s'aperçoive à nouveau que je lui désobéissais alors que c'était plus fort que moi. Il se pencha vers moi, me releva le menton avec son doigt et me dit tendrement :
«- Tu as le droit de me regarder ! »

Je levais immédiatement les yeux vers lui, plongeant mon regard dans le sien, qui était si intense. Il ne me quittait pas des yeux, me caressait maintenant la joue du revers de sa main, me caressant les cheveux de l'autre.
«- Que veux-tu ? » me demanda-t-il sans me lâcher du regard.
J'étais si troublée que j'en tremblais.
«- Ne me fais pas répéter ! » dit-il, calmement.
«- Je veux que vous me fassiez jouir, Monsieur ! » lui demandais-je toute fébrile.
«- C'est vraiment ce que tu souhaites ? Tu en es sûre ? »
«- Oui, Monsieur... S'il vous plaît. Je vous en prie ! »
«- Bien ! Tu auras ce que tu souhaites ! Tu t'es montrée très docile ! Tu seras donc récompensée ! »  me répondit-il.

Il me prit par les mains, me fit me relever et m’entraîna sur le lit, me fit asseoir sur le bord et m'obligea à écarter les cuisses le plus largement possible. Je sus enfin ce qu'il était allé chercher : des menottes, qu'il me passait autour du poignet droit puis passant dans mon dos, m'attrapa le gauche afin de le menotter lui aussi et il les serra aux maximum. J'étais maintenant entravée dans mes mouvements, à sa totale disposition.
«- Bien, il est temps de t'accorder ce que tu mérites ! » souffla-t-il, les lèvres au bord de mon sexe dégoulinant de plaisir.
Puis tout en me regardant, il plongea sa langue entre mes lèvres et remonta jusqu'à mon clitoris, ce qui me provoqua une petite décharge électrique. Il empoigna mes cuisses comme pour empêcher que je lui échappe, et continua à me titiller, à me lécher, à me boire comme un chat boirait son lait. Ses doigts agiles vinrent se rajouter à sa langue experte, et il glissa deux doigts à l'intérieur de moi. Et il commença à me baiser ainsi. Les faisant sortir puis rentrer à nouveau. D'abord lentement, puis de plus en plus vite.
«- Tu es tellement trempée que çà glisse tout seul ! J'adore quand tu mouilles pour moi ! » me dit-il dans un large sourire, ce qui me fit rougir.

Il continuait ce doux traitement pendant de longues minutes, mon plaisir était maintenant si intense que j'en perdais le contrôle de mon propre corps, je me tortillais sous ses caresses expertes et je gémissais de plus en plus fort, mon cœur ratant un battement ou deux. Je fus tout prêt de l'extase, quand il s'arrêta net, retirant ses doigts et me regardant profondément avec un regard si envoûtant, que je crus défaillir.
Il me détacha un poignet, me fit reculer en haut du lit, me rattacha les mains et s'allongea sur moi puis me pénétra avec douceur mais fermeté. Je ne m'étais même pas rendu compte qu'il était entièrement nu. Quand s'était-il déshabillé ?
Il commença de longs va-et-viens en soupirant légèrement. Il me caressait tendrement les cheveux tout en me regardant presque amoureusement. Moi je l'étais carrément, j'étais complètement accroc à cet homme si beau, si gentil mais si autoritaire, et si imposant, un peu intimidant... Il forçait le respect.

Je gémissais et ondulait sous ses coups de reins.
«- Continuez, Monsieur ! Plus fort, s'il vous plaît ! » le suppliais-je en allant à sa rencontre avec mon bassin.
«- Tu crois vraiment que tu es en mesure de me demander quoi que ce soit ? » me souffla-t-il durement mais calmement en s'arrêtant de bouger et en me prenant le menton dans sa main tout en plantant son regard droit dans mes yeux.
«- .... » Je le regardais fixement, ne sachant quoi répondre, hésitante, comme pour m'excuser de perdre le contrôle de mon corps et de mes pensées. Profitant de mon silence, il reprit avec un sourire en coin qui le rendait encore plus beau :
«- Mais puisque tu m'as contenté tout à l'heure, je vais être clément avec toi, et accepter ta supplique ! »
Et tout d'un coup, il se mit à me donner de grands coups de boutoir, faisant instantanément grimper mon plaisir.

Je ne pu m'empêcher de gémir bruyamment :
«- Oooh merci, Monsieur ! Ouiiii, c'est si bon ! »

Sur un rythme acharné, haletant, il me pilonnait sans cesse, en appui sur ses avant-bras, de chaque côté de ma tête afin que je ne sente pas tout le poids de son corps sur moi.
Moi, je l'entourais de mes cuisses comme pour l'empêcher de m'échapper. Il ne fallu pas longtemps pour que j'éclate dans un orgasme foudroyant, m'électrisant des pieds à la tête et me faisant hurler de bonheur. Il me suivi l'instant d'après en gémissant dans mon cou et en attrapant l'oreiller posé sous ma tête tout en se vidant à nouveau en moi. Puis il s'effondra sur moi, se retira et roula sur le côté.

Reprenant peu à peu ses esprits, il me détacha les poignets, me prit contre lui, et me serra très fort en me caressant les cheveux. Oh, comme c'était bon d'être dans ses bras.

J'espère que ce texte vous a plu, n'hésitez pas à me laisser vos impressions.

vendredi 4 novembre 2016

Rapprochements torrides

Je vous préviens d'avance, je change totalement de style avec ce texte, plus long que les premiers, écrit il y a un moment déjà, purement fictif qui raconte une histoire très osée, avec beaucoup de détails et décrivant même certaines scènes d'une relation Dominant / soumise et de BDSM.

Si déjà, le thème ne vous plaît pas, vous êtes priés de passer votre chemin. Vous voilà prévenus ! A ceux qui sont encore là, bonne lecture !
(Je rappelle que les photos ne sont pas de moi)




Dehors,il pleut !
On peut aisément entendre le bruit de la pluie battante qui vient s'écraser sur les carreaux des fenêtres.
Les rafales d'un vent léger s'engouffrent en sifflant par le bas de l'encadrement de la fenêtre, qui devient vétuste avec le temps,comme le reste de cette maison...

Il est 2h du matin et elle vient de se réveiller. Le souffle du vent l'a sortie d'un sommeil réparateur.
L'instant avant qu'ils s'endorment, ils étaient en train de célébrer leur amour en baisant comme à leur habitude.
Cela fait plusieurs années qu'ils se connaissent et quelques années de vie commune, et ils s'aiment encore comme au premier jour.

Juste avant de s'endormir, il l'a prise comme elle aime, comme il aime...
D'abord, tendrement, amoureusement, puis au fil de leurs ébats, lorsque son plaisir monte à son apogée, il se transforme, et devient un animal, cette bête lubrique qui la fait tant hurler de plaisir.

Tout d'abord, bien avant les préliminaires, il tente une approche. Elle fait semblant de ne pas vouloir y succomber, ils se cherchent, ils jouent, ils adorent çà !
Tels deux adolescents qui se découvrent, ils chahutent, ils se courent après, ils rient aux éclats puis ils se frôlent, et là, çà dérape. Tout devient caresses et volupté...

Il l'a attrapée, elle a cessé de faire semblant de vouloir lui échapper.
Il la tient fermement dans ses bras, elle est bien. Leurs regards se croisent, puis se figent.
Leurs respirations, essoufflées par leur course autour des meubles dans la maison, s'apaisent.
Mais leurs battements de cœur sont de plus en plus irréguliers, la tension sexuelle qui règne alors dans l'atmosphère est palpable, presque insoutenable...
Elle est toujours dans ses bras, et elle ne cherche plus à s'enfuir. Elle aime sentir sa force et sa puissance qui l'entoure, et qui lui font comprendre que çà ne sert à rien de vouloir contrer çà, qu'elle n'en aurait pas l'occasion, même si elle le voulait.
Elle se contente alors de se laisser aller à la passion, et lui attrape le visage entre ses mains douces et délicates et pose un doux baiser sur ses lèvres.
Il répond amoureusement à ce chaste baiser, avant de lui rendre la pareille, et ainsi, furtivement, le baiser se fait plus voluptueux, les lèvres s'entrouvrent et laissent place aux langues affamées, qui se cherchent, qui se trouvent et qui s'enlacent.
Commence alors un ballet sensuel entre ces deux langues vicieuses qui se tournent autour, les lèvres gourmandes qui se chevauchent et on entend alors plus que de longs soupirs et des gémissements encore discrets.

Les bras s'étreignent, les mains se font baladeuses. Rien n'est laissé au hasard, tout est fait pour faire monter la température rapidement.
Les corps sont maintenant serrés l'un contre l'autre, se frottant langoureusement et obscènement.
Il fait aussitôt descendre ses mains qui palpaient les fesses charnues et rebondies de sa belle, à hauteur des cuisses qu'il empoigne fermement pour pouvoir la soulever et la faire asseoir sur la table de la cuisine. La position fait automatiquement relever sa jupe courte sur ses hanches et laisse découvrir son entrejambe. Il peut maintenant à loisirs se repaître de cette vue qu'il adore. Il devine le sexe de sa douce à travers son sous-vêtement et cette vision ne fait qu'accroître son envie.
Elle est à hauteur du bassin de l'homme qu'elle aime et peut aisément deviner à la bosse que fait son sexe à travers son pantalon, l'excitation qui habite le jeune homme.
Elle s'en mord la lèvre inférieure, car elle sait que dans peu de temps, elle va y avoir droit au plus profond de son intimité.

Rien que de penser à l'idée d'avoir en elle ce sexe si majestueux qu'elle aime tant, elle se sent couler de désir. Elle sent alors l'humidité l'envahir et venir tremper le fond de son string.
Elle le désire, elle le veux. Maintenant. Elle le lui fait savoir en le prenant par les hanches et le plaquant contre sa chatte encore recouverte de ce mince voile de tissu la séparant de l'objet qu'elle convoite tant.
Elle se frotte sensuellement contre ce sexe maintenant si dur, que çà pourrait presque lui faire mal tellement il est bandé.
Elle a croisé ses jambes autour de ses cuisses pour le maintenir tout contre elle, et leurs langues et leurs mains ont repris leur ballet amoureux.

Ils se détachent enfin au bout d'un moment. Ils sont essoufflés, ils sont affamés du corps de l'autre.
Tous leurs sens sont en éveil. Leurs sexes réclament celui de l'autre.
Sa queue gonflée de désir, tressaute dans cet étau devenu trop étroit sous son jean.
Sa chatte est déjà ruisselante de mouille, et il n'a eu qu'à écarter cette fine lingerie devenue purement décorative sur le côté et d'introduire vivement deux doigts à l'intérieur de cette chaude et étroite fournaise pour provoquer en elle de légers spasmes de plaisir.

Il fait de lents va-et-viens dans ce sexe trempé de désir et cherche du bout des doigts son point sensible. Il le trouve immédiatement. Il connaît si bien ce corps qu'il a exploré et possédé si souvent.
Il sait comment la faire vibrer sous ses doigts agiles ou sa langue habile. Il sait reconnaître tous les signes qui ne le trompent pas et qui l'aident à la faire monter au 7ème ciel.
Il écoute sa respiration, il guette le moindre sursaut de ce corps si agréable à ses yeux.
Il attend le moment propice où elle lâche prise et se laisse emporter par un orgasme foudroyant.
Çà y est, ce moment est là ! Il s'en régale.

Elle s'agrippe à son épaule et laisse échapper ses cris de jouissance qu'elle ne peut plus contenir tellement son plaisir est dévastateur.
Il retire ses doigts et la laisse reprendre son souffle. Son corps se relâche peu à peu, elle ouvre les yeux et le regarde avec gratitude. Un immense sourire vient d'apparaître sur son magnifique visage.
Il la regarde tendrement et l'embrasse comme si elle était une chose fragile. Il lui murmure à l'oreille que jamais il ne cesserait de l'aimer.
Elle lui dit qu'elle l'aime aussi et elle commence à caresser par-dessus le pantalon ce sexe si gonflé de désir, qui se sent comprimé et qui ne demande qu'à être libéré de sa prison de tissu.

Elle fait promener ses doigts le long de cette tige qui a pris des proportions tout à fait satisfaisante et elle décide de mettre fin à sa souffrance et de l'en sortir. Elle ouvre son pantalon doucement, d'abord en faisant sauter le bouton et ensuite en tirant lentement sur la braguette jusqu'en bas. Elle passe sa main à l'intérieur.
Il est haletant, déjà prêt à exploser dès qu'elle se saisi de ce membre si dur et si chaud entre ses doigts. Elle le sait, donc elle prends tout son temps pour faire retomber la pression. Elle le relâche.
Elle veut faire durer les choses, elle veut le sentir jouir en elle. Peu importe l'endroit qu'il choisira au moment crucial, elle le veut en elle.

Elle fini de le déshabiller, faisant passer son T-shirt au-dessus de sa tête, et joue à faire courir ses doigts sur ses épaules et ses bras aux muscles saillants, puis les fait descendre sur son torse et enfin son ventre.
Elle adore suivre avec son doigt la ligne de poils qui part d'en-dessous de son nombril et qui fini sa course sur le pubis. Elle le dévore des yeux, il se trouve maintenant dans le plus simple appareil sous ses yeux gourmands. Elle voudrait le lécher, tellement elle le trouve appétissant.
Mais elle résiste, elle patiente. Elle sait qu'elle l'aura tôt ou tard.

Ils'avance vers elle avec un regard qui en dit long, elle se fige...
Il ne la lâche pas des yeux, un regard puissant qui en dit long sur ses intentions.
Elle devine tout de suite que çà y est, à ce moment précis, il devient cet homme qu'elle adore par-dessus tout.
Il n'est plus l'amant délicat de tout à l'heure, comme en témoigne son regard de braise.
Dans ses yeux, elle peut y voir toute la férocité dont il sait faire preuve lorsqu'il la veut Sienne, totalement abandonnée.
Qu'elle ne soit plus la douce et fragile compagne dont l'air si innocent laisse pourtant apercevoir que en-dessous, une tigresse sommeille, et qu'il faut à tout prix la réveiller et la laisser s'exprimer.

Elle sait comment il la souhaite, comment il veut qu'elle soit...
Alors elle le regarde droit dans les yeux avec un air provocateur tout en suçant son index comme si elle suçait sa belle et grosse queue bien dure. Elle ressort son doigt de la bouche et se met à le lécher comme si elle le léchait, lui.
Elle pousse son vice un peu plus loin en imitant à la perfection cette fellation imaginaire, et en poussant volontairement des soupirs salaces, gourmands et plus qu'évocateurs.
Il adore ce qu'il voit, elle lui donne terriblement envie, et il sait qu'il ne pourra pas résister bien longtemps. Aussi, il se décide à reprendre rapidement les choses en main.
Il se tient maintenant en face d'elle, et sans crier gare, lui prend le menton fermement entre son pouce et son index et lui fait relever la tête pour que leurs yeux se trouvent.

Il lui lance un regard qui veut absolument tout dire. Çà ne va pas être tendre. Elle le sait, elle veux qu'il en soit ainsi.
Elle est déjà pantelante de désir, et n'aspire qu'à une chose, servir pour son plaisir à lui.
Il lui fait tourner la tête sur le côté pour lui glisser à l'oreille, doucement mais suffisamment fort pour qu'elle le comprenne bien qu'il la veut chienne, il veut qu'elle soit la plus salope des salopes et qu'il n'arrêtera pas tant qu'il n'en aurait pas fini avec elle.

Elle se sent frémir d'excitation. Le poids de ses mots font monter en elle une douce vague de chaleur qu'elle seule peut ressentir, et elle sent son jus commencer à couler le long de ses cuisses.
Comme s'il lisait dans les pensées de sa belle, il vérifie aussitôt son état d'excitation en insérant deux doigts en elle, et peut constater avec bonheur qu'elle est déjà prête à le recevoir.
Un large sourire s'affiche sur son visage, elle le lui rend timidement.
Il lui fait lécher ses doigts enduits de son jus. Elle sort sa langue avec malice et nettoie ses souillures en savourant le goût de son propre plaisir.
Elle sait comment se comporter dans ces cas-là, et elle sait qu'elle va tout faire pour le satisfaire.

Il se recule, et lui ordonne de s'agenouiller.
Elle s'exécute immédiatement. Elle sait qu'elle ne doit pas le faire attendre. Il n'aime pas çà. Elle n'aime pas le décevoir.
Une fois en position, elle baisse le regard automatiquement. Elle ne doit pas le regarder directement dans les yeux tant qu'il ne lui a pas donné l'autorisation.
Elle attend patiemment son bon vouloir. Il la fait attendre volontairement. Çà ne fait que renforcer son désir pour lui. Il lui dit de ne pas bouger, qu'il revient.

Il se dirige dans le couloir qui mène à leur chambre et en revient quelques instants après.
Elle n'a toujours pas levé les yeux, donc elle ne peut pas voir qu'il est allé chercher le collier et la laisse, leurs deux objets fétiches de leurs moments si intenses lors de leurs séances ludiques.
Mais elle le sait. Elle connaît parfaitement leurs rituels instaurés depuis qu'ils pratiquent le BDSM. Leur relation D/s renforce leurs sentiments qu'ils éprouvent l'un pour l'autre depuis qu'ils se connaissent.

Elle attend. Elle l'attend.
Elle sait qu'il peut la laisser de longs moments ainsi, dans cette position qui à la longue, devient vite inconfortable due à la rudesse du carrelage.
Mais qu'importe, elle a su acquérir au fil du temps, au fil de leurs séances, une résistance presque à toute épreuve.
Il aime la voir ainsi, elle sait qu'elle est forte. Mais il savoure de la laisser comme çà. Il fait prolonger le plaisir de la voir ainsi docile pour un petit moment encore.
Puis il décide qu'il est temps, alors il lui passe solennellement le collier autour de son cou si délicat. Puis y accroche la laisse, composée d'une chaîne en métal qui finit par une lanière en cuir. Leurs deux matières préférées.

Immédiatement, il tire sur la laisse vers le bas, ce qui fait instantanément baisser celle qu'il aime devenue maintenant soumise, vers le sol.
Elle adopte aussitôt la position qu'il veut. Toujours à genoux, mais le front posé au sol, les bras tendus devant elle.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'il était aussi allé chercher sa cravache, sa favorite, celle en cuir marron.
Aussi est-elle surprise lorsqu'elle sent le bout de la cravache flatter ses fesses rebondies. Elle adore le contact de ce petit bout de cuir qui effleure sa peau.
Elle anticipe déjà le coup vif mais si bon, qu'il sait si bien lui donner pour échauffer sa peau si rose, tellement bien qu'elle se sent avoir la chair de poule. Elle ne peut s'empêcher de se tortiller légèrement sous les caresses de cet instrument si plaisant.

Il veut en jouer. Si bien qu'un premier coup s'abat sur une fesse, puis sur l'autre.
Le coup n'est que très léger, elle le sait bien. Il se retient car il veut juste l'émoustiller un peu plus, pas la punir.
Il refait courir le bout de la cravache sur son corps en demande, mais plus haut cette fois, il s'attarde sur sa colonne, monte jusqu'aux omoplates, et redescend jusqu'en bas de cette chute de rein vertigineuse. Et repart... Encore... Et encore...
Elle gémit, elle ronronne de bonheur. Elle est là, haletante, pantelante, en attente de lui, de sa queue. Elle le veut, là, tout de suite.

Il tire sur la laisse pour la faire se redresser. Elle est toujours à genoux mais elle se trouve maintenant à hauteur de son entrejambe qui distend la toile de son jean tellement son sexe est bandé. Il lui dit alors de cette voix ferme mais sensuelle : «Touche-moi ! »
Oh, quels mots divins, elle n'en attendait pas moins. Vu qu'elle a les mains libres, elle peut à loisir le toucher, le palper, le caresser tout son soûl.
Elle commence par poser ses mains sur ses cuisses et remonte légèrement.
Voyant qu'elle prend tout son temps et il sait que c'est sûrement fait exprès pour le provoquer un peu, il tire un peu plus sur la laisse, ce qui lui fait relever la tête et tout en la fixant droit dans les yeux, lui ordonne :
«Touche-moi, Salope ! Maintenant ! Sinon tu vas goûter à ma cravache pour de vrai, et ça te sera bien moins agréable ! »

Elle le regarde avec un air coquin, et elle arrête son petit jeu. Elle pose fermement sa main droite sur ce membre conséquent qui ne demande qu'à sortir et commence à caresser, à flatter, à faire gonfler encore plus ce superbe spécimen de virilité.
Puis elle commence à ouvrir ce pantalon qui devient indésirable.
Elle veut l'objet de ses désirs, elle veut l'avoir en main, l'avoir sous ses yeux, dans sa bouche, en elle. Partout...

Elle pousse un « Hummm » de gourmandise quand elle aperçoit enfin ce qu'elle convoite tant, ce dont elle ne peux maintenant plus se passer. Elle se lèche les lèvres. Et sort le bout de sa langue.
Tout en le regardant dans les yeux, elle prend en main cette bite magnifique, et elle lèche toute la longueur, en partant des couilles et en remontant jusqu'au gland, qu'elle gratifie d'un doux baiser.
Puis elle titille le frein avec sa langue coquine et agile, elle sait ô combien il adore çà, çà lui fait perdre tous ses moyens. Elle en profite et s'attarde sur ce point sensible. Puis continue à explorer ce sexe dur comme du marbre, qui commence à secréter une goutte de liquide séminal qu'elle s'empresse de lécher. Elle se régale. Il pousse de longs soupirs d'extase, mais il veut plus.

Alors il lui prend la tête entre ses mains puissantes, et lui fourre sa queue dans la bouche en donnant le rythme. Elle a compris le message et s'active comme une délurée sur ce morceau de chair palpitant qui ne demande qu'à cracher sa semence.
Mais pas tout de suite. Il se retire. Elle est déçue, elle aurait tant aimé le faire gicler au fond de sa gorge.
Il la tient toujours fermement au bout de la laisse et commence à se diriger en direction de la chambre. Elle n'a pas d'autre choix que de se mettre à 4 pattes et de le suivre docilement.
Une fois arrivés au pied du lit, il lui enlève la laisse et lui dit de se coucher sur le lit, mais sur le ventre. Elle obéit.
Elle devine comment il va la prendre et elle en coule de plaisir. Elle dégouline de mouille, qui ruisselle sur ses jambes.
Elle n'en peux plus, il faut qu'il la prenne, n'importe comment, mais qu'il le fasse et vite. Mais elle s'abstient bien de lui en faire part, elle ne voudrait pas risquer de le mettre en colère. Elle ne voudrait pas récolter une punition.

Il monte sur le lit derrière elle. Elle sent le poids de son corps s'enfoncer dans le matelas autour d'elle quand il prend appui sur les genoux afin de pouvoir lui attacher les mains aux montants du lit.
Ils gardent en permanence des menottes accrochées aux coins du lit afin de gagner du temps, si un besoin pressant se faisait ressentir. Et ce soir-là, c'est le cas.
Il attrape sa main droite et referme la menotte autour de son poignet. Le métal froid lui mord la peau et laisse déjà des traces. Elle adore. Il fait pareil avec l'autre. Il s'assure qu'elle ne peut passe libérer. C'est parfait. Il peut maintenant passer aux choses sérieuses.

Toujours placé derrière elle, il caresse son corps de ses mains fermes et puissantes. Il lui provoque des frissons dans l'échine, la faisant gémir. Des gémissements presque suppliants.
Il ne veut pas la faire attendre plus longtemps car elle a été sage et aussi parce que lui aussi n'en peux plus. Il faut qu'il la prenne, çà en devient non plus une envie, mais un besoin presque vital.
Alors sans plus attendre, il se positionne entre ses jambes, lui faisant du coup écarter au maximum, et place le bout de sa queue à l'entrée de sa chatte détrempée.
Elle pousse un ouf de soulagement quand il la pénètre jusqu'à la garde. Il se retire tout aussi doucement qu'il était rentré, et d'un coup franc, replonge à l'intérieur.
Elle n'a pas le temps de se remettre des premiers coups de boutoir que déjà, il la pilonne sans merci.
Elle adore, elle savoure, elle est presque au bord de la jouissance tellement c'est bon.

Il le sait, il le remarque à la façon dont les muscles internes de sa chatte se contractent autour de sa queue, et si çà continue comme çà, il ne va pas pouvoir se retenir plus longtemps, et il ne veut pas venir tout de suite, alors il se retire.
Elle en est surprise et frustrée d'avoir été amenée au bord de l'extase et d'en être empêchée si brusquement.
Elle n'ose tourner la tête en arrière pour voir ce qu'il fait. Elle se contente d'attendre patiemment qu'il la prenne en pitié et achève son envie de lui.
Soudain, elle entend le son de sa voix qui lui incombe de présenter son cul bien haut. Elle se redresse sur ses genoux, pose sa joue contre le matelas et lui expose ses fesses bien relevées.
Se montrant à lui ainsi offerte, elle sent encore plus la moiteur de son antre se répandre en elle, la chaleur l'envahit et elle n'attend plus que lui, elle attend... Encore !


Cette vision superbe le ravi. Il lui agrippe ses fesses bien rondes, bien fermes, et il laisse promener ses mains, lentement, vicieusement, il se rapproche de son intimité et se délecte de voir combien elle mouille pour lui.
Il ne peut plus attendre, il veut la posséder et la faire hurler. Alors, il s'enfonce sans sommation en elle, s'agrippant à une hanche tout en laissant sa main libre courir sur ses fesses. Et lui assène une gifle cuisante sur son cul, qui prend aussitôt une belle teinte rose foncé, bien plus que la carnation naturelle de sa peau.
Elle sursaute. Elle est heureuse, c'est exactement ce qu'elle voulait. Elle subit avec honneur ses assauts et sait que très bientôt, ils vont se laisser aller à l'explosion de leur plaisir.
Il la pilonne sans vergogne, il se laisse aller totalement à son excitation qui culmine au plus haut. Il sait que bientôt il ne tiendra plus, que ces orifices si accueillants auront tôt ou tard raison de lui.
Mais avant çà, il veut la posséder par tous les trous, et c'est tout naturellement qu'il se retire et vient se positionner devant son petit trou si appétissant.
Il n'a même pas à forcer, elle est tellement offerte que çà s'ouvre tout seul et laisse entrer ce superbe engin. Elle ne ressent aucune douleur face à cette intrusion tellement elle est excitée.
Elle remue son bassin pour lui faire comprendre qu'elle le veut tout entier au fond d'elle.

Il ne se fait pas attendre, et attaque aussitôt un rythme effréné dans ses entrailles. Elle se cambre du mieux qu'elle peux pour lui donner la profondeur de pénétration idéale et ainsi pouvoir l'amener au plaisir suprême.
Il ne lui en faut pas plus pour qu'il parte dans un orgasme fulgurant, dévastateur. Elle le suit juste après, tremblant de tous ses membres pendant qu'il se déverse en elle.
Elle sent la chaleur de son sperme l'inonder. La queue encore raide n'en fini pas de se vider alors que sa chatte se comprime encore, prise par les spasmes de la jouissance.
Tout n'est plus que corps en chaleur, cris et souffles haletants.

Et enfin, le retour au calme, les esprits reviennent dans leurs enveloppes corporelles.
Puis le silence, les deux amoureux sont à nouveau tendres et passionnés.
Il lui détache les mains, lui masse les poignets alors qu'ils sont tous deux maintenant allongés l'un contre l'autre et c'est ainsi, qu'épuisés par leur passion dévorante et leurs ébats torrides, ils s'endorment sereins et apaisés.

J'espère que ce texte vous a plu, n'hésitez pas à me laisser vos impressions.