Comme annoncé dans le billet précédent, j'ai la joie fébrile de vous partager mon tout dernier texte écrit à l'occasion de la seconde édition du concours du prix de la nouvelle érotique au contexte et conditions de réalisations si spéciales et spécifiques à ce genre de concours !
Sur le moment, j'étais contente de mon écrit, maintenant, avec le recul, je ne sais qu'en penser ! J'espère néanmoins que ça vous plaira à vous !
(La photo n'est pas de moi)
Alors
qu'il pousse la porte d'entrée du pub le plus populaire de ce
quartier, son regard parcourt rapidement la salle. Il trouve
rapidement un coin tranquille et isolé. Il ne souhaite qu'une chose,
être seul et savourer sa liberté tout juste retrouvée. Elle est
assise au bar, Elle sirote son cocktail silencieusement. Elle est
plongée dans ses pensées et d'un air absent, remue les fruits dans
son verre avec la paille.
Il
sort tout juste d'un mariage difficile. Elle vient de se faire plaquer après quelques années de relation tumultueuse.
Un
serveur s'approche de cet homme en apparence très mystérieux, mais
hautement élégant et prend sa commande. L'homme, assis dans un coin
sombre, porte une veste de costume et un jean noir, une chemise
blanche déboutonnée à son col sur un torse laissant apparaître
une faible pilosité. Des chaussures de villes d'une propreté
étonnante. Un homme soigné de toute évidence.
Son
regard se perd un peu sur les gens évoluant autour de lui. Des potes
un peu bruyants éclatent de rire trop fortement. Ils doivent être
un peu trop alcoolisés, se dit-il. Des jeunes jouent au billard au
fond de la salle, d'autres aux fléchettes. Quelques personnes sont
accoudées au bar. Le bar est plein ce soir.
Il
continue de scruter la pièce quand il s'arrête soudainement sur un
couple juste en face, à seulement quelques mètres de là, ils se
bécotent et rient comme des adolescents se découvrant. Il ne peut
s'empêcher de repenser à ses jeunes années lui aussi, avec celle
qu'il avait courtisée, avec qui il avait passé toutes ces années
et avec qui maintenant tout avait pris fin. Ils n'ont pas eu
d'enfants, leur travail respectif les accaparant tous deux chacun de
leur côté et leur faisant prendre un chemin différent.
Une
certaine nostalgie le prit soudainement, jusqu'à ce que son regard
se porte enfin sur une belle silhouette lui tournant le dos, mais
dont il perçoit rapidement la beauté de cette créature devant ses
yeux.
Perchée
sur un haut tabouret, ses jambes croisées, il remarque qu'elle porte
des bas. Il le devine à la marque que les attaches de son porte
jarretelle dessinent sur sa robe moulant son corps à la perfection.
Rien que cette vision lui provoque d'agréables sensations un peu
lointaines. Lui qui souhaite rester seul ne peut résister à
quelques ressentis, il n'est qu'un homme après tout, et malgré
quelques années de mariage et de routine installée, il éprouve
encore les émois d'un tout jeune homme. Cette femme lui plaît.
Indéniablement.
Il
se dit qu'après tout, une petite discussion ne peut pas lui faire de
mal. C'est donc sans arrière-pensée qu'il va à la rencontre de
cette belle inconnue. Il choisit de l'aborder le plus simplement du
monde. Il ne cherche pas à la draguer alors il s'installe sur le
tabouret juste à côté de la belle et commande un nouveau verre.
De
là où il se trouve, il peut maintenant la détailler à loisir.
Elle est châtain, les yeux noisettes, une silhouette svelte mais
avec des rondeurs bien proportionnées. Elle approche la quarantaine.
Elle ne porte pas d'alliance.
Il
reste silencieux. Il attend le moment propice. Il remarque qu'elle
vient de finir son verre et une fois qu'elle eut commandé un
suivant, il dit alors au serveur qu'il prendra la consommation de la
dame sur sa note. Elle lui sourit en le remerciant poliment. Elle lui
fait remarquer que c'est très gentil et galant de sa part mais qu'il
n'avait pas à faire ça, qu'elle est totalement à même de pouvoir
régler ses consommations comme la femme nouvellement libre et
fraîchement indépendante qu'elle est.
Cette
déclaration le surprend. Et il tente d'entamer la conversation en
rebondissant sur le sujet. Devenue un peu méfiante des hommes, mais
un peu enivrée par les boissons qu'elle a bu auparavant, elle se
laisse volontiers aller à quelques confidences sur sa toute récente
rupture.
Il
l'écoute attentivement. Il ne l'interrompt pas. Elle a une voix
douce et étrangement, il se sent bien avec elle. Il l'écoute
raconter son histoire, mais il ne peut s'empêcher de regarder ses
lèvres bouger lorsqu'elle parle. Il imagine ses jolies mains sur
lui, autour de lui, autour de son membre dur et viril. Il l'imagine
couchée sur un lit, nue et offerte. En train de prendre du plaisir
qu'il lui donne.
Ses
pensées s'égarent, il en est conscient. Il ne veut pas qu'elle se
doute de quelque chose. Il tente alors de reprendre une contenance en
se repositionnant sur son tabouret et en consultant brièvement son
portable.
Elle
se sent stupide. Voilà qu'elle est là, assise à un bar, à côté
d'un parfait inconnu, à raconter ses déboires de sa misérable vie
amoureuse. Mais aussi étrangement qu'il y paraît, pendant qu'elle
se livre à lui, elle a des pensées des plus coquines. Elle regarde
ce superbe mâle sous toutes les coutures, ses grandes mains qu'elle
imagine sur sa poitrine, sur son intimité, ses longs doigts se
faufilant en elle. Elle se risque à un regard furtif entre les
cuisses de ce bel Apollon, en se demandant ce qu'il peut bien cacher
là en-dessous. Puis elle revient à son visage, qu'elle fantasme
tout de suite entre ses cuisses, la faisant chavirer comme jamais
auparavant.
Elle
ne veut pas qu'il perçoive son trouble mais depuis que cet homme est
venu s'asseoir à ses côtés, elle ne peut faire autrement que de le
voir comme un beau mâle, avec lequel elle passerait bien un bon
moment.
Afin
de faire un peu diversion, elle lui demande en retour pourquoi un si
bel homme comme lui se retrouve seul un soir de semaine, dans un bar
bondé de jeunes pleins d’effervescence.
Il
ne manque pas de remarquer le compliment qu'elle vient de lui faire,
et se décide à se lancer. Il lui raconte alors que lui aussi vient
tout juste de retrouver sa liberté après des années d’un mariage
qui ne lui convenait plus. Il n'y avait plus d'amour, il s'en était
rendu à l'évidence et avait décidé qu'il était temps d'y mettre
fin afin qu'il puisse se donner une deuxième chance avec une autre,
le moment venu.
Il
lui avoue aussi que pour l'heure, il n’est pas question de se
recaser ou de fonder une famille. Tout ce qu'il souhaite pour ce
soir, c’est quelqu'un pour accompagner sa solitude.
Il
souhaite faire de nouvelles rencontres quand il en sera temps mais
que pour l'instant, tout ce qu'il désire, c'est prendre du bon
temps. Et être ici, dans ce bar et en charmante compagnie, n'est pas
pour lui déplaire. Bien au contraire.
Enhardie
par ces propos, elle laisse tomber son masque et se décide à jouer
franc jeu avec lui. Elle lui confie qu’elle est séduite par son
charme et ne serait pas contre un petit rapprochement plus intime.
Elle est d'humeur joueuse et se sent de plus en plus coquine à
mesure que son verre son vide et que les minutes passent auprès de
lui. Elle lui avoue même qu'il ne la laisse pas indifférente là,
en bas. Son intimité se réchauffe, elle se sent se liquéfier à
entendre sa voix grave et suave. Elle aimerait plus avec lui, là,
maintenant.
Dans
un élan d'excitation soudaine, il prend sa main dans la sienne et se
rapproche d'elle, lui chuchotant à l'oreille qu'il habite à deux
pas d'ici. Que si elle le souhaite, elle n'a qu'un mot à dire pour
qu'ils partent tout deux poursuivre leur échange de façon moins
orthodoxe. Elle le regarde droit dans les yeux et lui dit : "Je
te suis !"
Il
se lève, règle l'addition, l'aide à enfiler son manteau et lui
ouvre la marche en direction de son appartement. C'est un immeuble
récent, avec seulement 4 étages. Il habite au 3ème. Dans
l'ascenseur, la tension est palpable. L'atmosphère s'est alourdie.
Ils sont maintenant seuls. Les bruits du bar ont cessé, les
discussions bruyantes ne sont plus.
Les
portes s'ouvrent. Il l'emmène jusque devant sa porte. Lui demande si
elle veut toujours entrer. Elle lui répond oui, sans hésiter. Il
pose un baiser chaste sur ses lèvres douces. Il ouvre nerveusement
sa porte. L'excitation monte d'un cran encore lorsqu'ils pénètrent
dans l’appartement.
Il
les débarrasse de leurs manteaux, lui propose un dernier verre. Elle
refuse poliment. Elle a assez bu pour ce soir. Assez pour être
coquine, pas assez pour ne pas savoir ce qu'elle est en train de
faire. Elle lui dit être pleinement consciente de ce qu'elle lui
demande. Elle lui précise qu'elle ne veut pas d'une histoire
sérieuse, qu'elle veut juste s'amuser, et profiter. Ne pas se poser
de questions. Elle souhaite une histoire sans lendemain. Il lui
répond qu'il est entièrement d'accord avec tout ça et que c'est ce
qu'il veut aussi. Ils sont là pour prendre et donner du plaisir,
sans attaches, sans sentiments.
Rassurée,
elle se laisse aller à quelques mouvements audacieux sur lui
lorsqu'il se rapproche d'elle tel un prédateur ayant cerné sa
proie. Il la regarde comme si il n'avait jamais vu de femme aussi
belle. Il la désire ardemment. Il lui fait comprendre et lui prenant
sa main et la posant sur sa braguette. Elle sent combien il la veut.
Elle gémit longuement lorsqu'il approche sa bouche de son cou,
qu'elle sent alors son souffle se poser vers son oreille, que sa
langue vient la titiller doucement.
Il
pose ses mains sur ses épaules, dégageant son cou de ses longs
cheveux qui pendent de chaque côté de son beau visage. Il commence
à l’embrasser tout doucement. Elle se laisse faire, se livrant
davantage au désir de cet homme. Elle défait les boutons un par un
de la chemise, dévoilant un torse musclé et viril. Elle laisse
glisser le tissu au sol. Elle veut le sentir tout contre elle. Il est
plus grand qu’elle. Elle le sent dur contre son ventre. Elle ne
veut plus attendre et s’empresse d’ouvrir son pantalon pour en
extraire l’objet de sa convoitise.
Il
grogne au moment où sa main entre en contact avec la partie la plus
sensible de son anatomie. Il bande dur. Pour elle. Il la veut,
maintenant. Sans ménagement, il lui retire sa robe en la faisant
passer par-dessus sa tête. Il se recule un instant pour contempler
la belle dans un magnifique ensemble tout de soie et de dentelle.
Noir intégral pour sublimer sa peau pâle.
Il
l’attrape par les hanches et la soulève du sol, il n’a qu’un
pas à faire pour la plaquer contre le mur. Elle soupire. Il se colle
contre elle. Se frotte à elle. Il ne prend même pas la peine de
retirer son pantalon, il joue avec son membre tout contre sa fente
trempée de désir. Elle empoigne son sexe, dressé et palpitant,
commence de doux va et vient. Elle veut le goûter. Elle redescend et
s’agenouille devant lui, le regarde droit dans les yeux et sors sa
langue pour venir taquiner le gland sensible du bellâtre.
Il
gémit lorsqu’elle le prend enfin dans sa bouche. Elle joue avec sa
langue tout autour de sa belle queue. De la base jusqu’à son bout,
perlant de plaisir. Elle lèche ce liquide transparent qui pointe à
son extrémité. Elle se régale, elle le lui fait savoir. Elle
commence ensuite un long va et vient sur toute la longueur de son
membre. Encore. Et encore. Elle le suce maintenant avec gourmandise.
Alors
qu’il n’en peut plus de ce traitement divin, il la fait se
relever, il veut la prendre. Il enfile un préservatif qu’il avait
dans sa poche et la pénètre d’un seul coup. Il ressort lentement
afin de lui laisser prendre conscience de toute sa longueur puis
rentre à nouveau, tout aussi doucement, encore une fois. Puis il se
retire. Il finit de se déshabiller et la porte jusqu’à son lit, à
seulement quelques mètres de là.
Il
la dépose délicatement, la déshabille lentement puis il pose ses
mains sur ses belles cuisses douces et l’attire soudainement
brutalement à lui. Il la pénètre à nouveau, prenant appui sur ses
bras afin de ne pas laisser tout son poids pesé sur elle et il la
baise. Tantôt tendrement, puis sauvagement l’instant d’après.
Elle enroule ses jambes autour de ses hanches et accompagne ses
mouvements afin de le faire basculer avec elle dans le plaisir
absolu.
Il
se retire, plonge sa tête entre ses cuisses, et la lèche aussi
avidement qu’il le peut. Il veut la boire. Son nectar coule à son
orée et il se délecte de tout son jus qu’elle a à lui offrir.
Elle est au bord de l’extase mais elle le veut à nouveau en elle.
Elle
le supplie de la prendre. Sans ménagement. Elle veut du sexe pur. Du
sexe cru. Du sexe sale. Elle ne veut pas faire l’amour, elle veut
être baisée. Et comme pour joindre le geste à la parole, elle se
retourne, et lui présente ses fesses. Elle veut qu’il la prenne en
levrette. Il ne se fait pas attendre. Il empoigne sa queue gonflée
d’excitation, la dirige vers sa fente douce et quémandeuse et la
comble immédiatement de toute sa présence. Il l’attrape par les
hanches et entreprend alors de la limer comme il se doit.
Implacablement, bestialement, faisant claquer ses cuisses contre les
siennes.
Il
passe une main devant elle, et vient titiller directement son
clitoris. Elle est tout près, elle va bientôt jouir, elle le lui
dit. Elle lui demande de la rejoindre. Il accélère alors ses
mouvements et dans un ultime coup de rein, ils jouissent l’un après
l’autre, et leurs corps fatigués s’effondrent sur le lit.
Il
reprend quelque peu ses esprits et son souffle puis se retire. Il
enlève le préservatif et le jette par terre. Elle redescend peu à
peu de son nuage post-orgasmique et le remercie pour ce beau moment.
Il lui sourit et la remercie à son tour. Il a passé un très bon
moment.
Elle
tente de se lever afin de s’habiller pour partir et rentrer chez
elle, mais elle est trop épuisée pour bouger. Ses membres sont
lourds, tout son corps est engourdi. Elle marmonne quelques mots, se
retourne vers son compagnon de jeu d’un soir et le trouve déjà
endormi, ses yeux lourds se ferment tout seuls, elle dort.
Une
lumière pâle filtre à travers les rideaux lorsqu’elle ouvre les
yeux et réalise avec horreur qu’elle se trouve toujours dans un
lit qui n’est pas le sien. Dans un appartement qu’elle ne connaît
pas. Aux côtés d’un homme dont elle ne sait presque rien.
Elle
tente de se lever, quand des bras puissants l’en empêche, et qu’un
corps imposant lui monte dessus et la cloue au matelas, les mains
relevées au-dessus de sa tête. Il est si beau même au réveil, les
cheveux emmêlés par une nuit de sommeil. Elle lui sourit et tente
de se débattre afin de se sortir de là, mais il est bien plus fort
qu’elle. Et il n’a pas du tout envie qu’elle s’en aille. Non,
il a envie d’autre chose. Il la veut encore. Il lui fait signe de
regarder en dessous de la ceinture et alors qu’elle le sentait déjà
dur tout contre elle, maintenant elle le voit, et cette pensée la
fait gémir de plus belle. Elle est bouillonnante d’envie.
Il
attrape un préservatif, l’enfile et présente son sexe à l’entrée
de la chatte de la belle. Elle cambre un peu les hanches pour mieux
l’accueillir, et d’une poussée, il est en elle. Mais cette fois,
il est doux avec elle, et pendant qu’il est en elle, faisant de
lents va et viens, il lui parle. Il lui dit qu’il a très bien
dormi avec elle à ses côtés. Qu’il n’a jamais aussi bien dormi
depuis très longtemps. Qu’il sait qu’ils avaient dit qu’il ne
devait pas y avoir de sentiments ou autre chose que du sexe pur, mais
il ne peut lui cacher qu’elle l’a envoûté et qu’il ne peut
lutter contre ça. Qu’il n’est pas prêt pour un nouvel
engagement aussi rapidement, mais qu’il ne veut pas que leur
relation s’arrête ici et maintenant. Il en veut encore, après
même que leur danse des corps soit terminée.
Elle
laisse passer un long silence, alors qu’il bouge encore en elle, la
torturant délicieusement. Puis enfin, elle lui répond. Elle non
plus ne veut pas que ça s’arrête. Que jamais un homme ne l’avait
écoutée comme il l’avait fait la veille. Ni même posé un tel
regard sur elle pendant qu’elle était en train de faire l’amour.
Elle ne sait pas ce qu’il en sera demain, mais elle veut le revoir.
Elle le sait. Ils se serrent aussi forts qu’ils le peuvent en se
demandant si ils croient au coup de foudre.
Il
la fait rouler sur lui et veut la voir dans toute sa nudité. Elle se
redresse sur lui, et entame une douce danse sensuelle le long de sa
bite tendue. Elle monte et descend lentement, ondulant des hanches,
le regardant dans les yeux, le sentant s’abandonner totalement. Il
a fermé les yeux, ses mains tenant fermement la belle par les
hanches, la guidant dans ses mouvements.
Il
renverse la tête en arrière et se laisse aller à son plaisir dans
un ultime coup de rein. Il lâche prise et se déverse dans le
préservatif dans un long râle de plaisir ultime.
Il
se redresse, l’embrasse fougueusement, l’attirant encore plus
contre lui. Il la couche sur le lit, se retire, enlève le
préservatif, et pose ses lèvres contre les siennes à elle, entre
ses jambes et la lèche doucement. Il prend son temps, mais il est
précis. Son plaisir à elle n’est pas retombé, bien au contraire,
il sait comment la maintenir au bord de l’extase. L’en approcher
tout près, l’amener juste au bord du précipice puis l’en
éloigner tout juste assez pour qu’elle en redemande. Encore et
encore.
Il
ajoute à sa douce torture un, puis deux doigts en elle. Il bouge
habilement et dose savamment ses coups de langue. Il est aussi agile
de sa bouche que de ses doigts. Le point de non-retour est atteint et
il en faut peu pour qu’elle bascule dans un orgasme intense et
foudroyant. Elle se cambre, la tête sur le côté, mordant
l’oreiller pour étouffer ses cris en vain. Elle tremble de tous
ses membres, les vagues déferlantes de son plaisir affluant encore
et encore et la parcourant toute entière tel un ricochet.
N'hésitez pas à me laisser vos impressions et à relire mes anciens textes, si le cœur vous en dit !