vendredi 4 novembre 2016

Rapprochements torrides

Je vous préviens d'avance, je change totalement de style avec ce texte, plus long que les premiers, écrit il y a un moment déjà, purement fictif qui raconte une histoire très osée, avec beaucoup de détails et décrivant même certaines scènes d'une relation Dominant / soumise et de BDSM.

Si déjà, le thème ne vous plaît pas, vous êtes priés de passer votre chemin. Vous voilà prévenus ! A ceux qui sont encore là, bonne lecture !
(Je rappelle que les photos ne sont pas de moi)




Dehors,il pleut !
On peut aisément entendre le bruit de la pluie battante qui vient s'écraser sur les carreaux des fenêtres.
Les rafales d'un vent léger s'engouffrent en sifflant par le bas de l'encadrement de la fenêtre, qui devient vétuste avec le temps,comme le reste de cette maison...

Il est 2h du matin et elle vient de se réveiller. Le souffle du vent l'a sortie d'un sommeil réparateur.
L'instant avant qu'ils s'endorment, ils étaient en train de célébrer leur amour en baisant comme à leur habitude.
Cela fait plusieurs années qu'ils se connaissent et quelques années de vie commune, et ils s'aiment encore comme au premier jour.

Juste avant de s'endormir, il l'a prise comme elle aime, comme il aime...
D'abord, tendrement, amoureusement, puis au fil de leurs ébats, lorsque son plaisir monte à son apogée, il se transforme, et devient un animal, cette bête lubrique qui la fait tant hurler de plaisir.

Tout d'abord, bien avant les préliminaires, il tente une approche. Elle fait semblant de ne pas vouloir y succomber, ils se cherchent, ils jouent, ils adorent çà !
Tels deux adolescents qui se découvrent, ils chahutent, ils se courent après, ils rient aux éclats puis ils se frôlent, et là, çà dérape. Tout devient caresses et volupté...

Il l'a attrapée, elle a cessé de faire semblant de vouloir lui échapper.
Il la tient fermement dans ses bras, elle est bien. Leurs regards se croisent, puis se figent.
Leurs respirations, essoufflées par leur course autour des meubles dans la maison, s'apaisent.
Mais leurs battements de cœur sont de plus en plus irréguliers, la tension sexuelle qui règne alors dans l'atmosphère est palpable, presque insoutenable...
Elle est toujours dans ses bras, et elle ne cherche plus à s'enfuir. Elle aime sentir sa force et sa puissance qui l'entoure, et qui lui font comprendre que çà ne sert à rien de vouloir contrer çà, qu'elle n'en aurait pas l'occasion, même si elle le voulait.
Elle se contente alors de se laisser aller à la passion, et lui attrape le visage entre ses mains douces et délicates et pose un doux baiser sur ses lèvres.
Il répond amoureusement à ce chaste baiser, avant de lui rendre la pareille, et ainsi, furtivement, le baiser se fait plus voluptueux, les lèvres s'entrouvrent et laissent place aux langues affamées, qui se cherchent, qui se trouvent et qui s'enlacent.
Commence alors un ballet sensuel entre ces deux langues vicieuses qui se tournent autour, les lèvres gourmandes qui se chevauchent et on entend alors plus que de longs soupirs et des gémissements encore discrets.

Les bras s'étreignent, les mains se font baladeuses. Rien n'est laissé au hasard, tout est fait pour faire monter la température rapidement.
Les corps sont maintenant serrés l'un contre l'autre, se frottant langoureusement et obscènement.
Il fait aussitôt descendre ses mains qui palpaient les fesses charnues et rebondies de sa belle, à hauteur des cuisses qu'il empoigne fermement pour pouvoir la soulever et la faire asseoir sur la table de la cuisine. La position fait automatiquement relever sa jupe courte sur ses hanches et laisse découvrir son entrejambe. Il peut maintenant à loisirs se repaître de cette vue qu'il adore. Il devine le sexe de sa douce à travers son sous-vêtement et cette vision ne fait qu'accroître son envie.
Elle est à hauteur du bassin de l'homme qu'elle aime et peut aisément deviner à la bosse que fait son sexe à travers son pantalon, l'excitation qui habite le jeune homme.
Elle s'en mord la lèvre inférieure, car elle sait que dans peu de temps, elle va y avoir droit au plus profond de son intimité.

Rien que de penser à l'idée d'avoir en elle ce sexe si majestueux qu'elle aime tant, elle se sent couler de désir. Elle sent alors l'humidité l'envahir et venir tremper le fond de son string.
Elle le désire, elle le veux. Maintenant. Elle le lui fait savoir en le prenant par les hanches et le plaquant contre sa chatte encore recouverte de ce mince voile de tissu la séparant de l'objet qu'elle convoite tant.
Elle se frotte sensuellement contre ce sexe maintenant si dur, que çà pourrait presque lui faire mal tellement il est bandé.
Elle a croisé ses jambes autour de ses cuisses pour le maintenir tout contre elle, et leurs langues et leurs mains ont repris leur ballet amoureux.

Ils se détachent enfin au bout d'un moment. Ils sont essoufflés, ils sont affamés du corps de l'autre.
Tous leurs sens sont en éveil. Leurs sexes réclament celui de l'autre.
Sa queue gonflée de désir, tressaute dans cet étau devenu trop étroit sous son jean.
Sa chatte est déjà ruisselante de mouille, et il n'a eu qu'à écarter cette fine lingerie devenue purement décorative sur le côté et d'introduire vivement deux doigts à l'intérieur de cette chaude et étroite fournaise pour provoquer en elle de légers spasmes de plaisir.

Il fait de lents va-et-viens dans ce sexe trempé de désir et cherche du bout des doigts son point sensible. Il le trouve immédiatement. Il connaît si bien ce corps qu'il a exploré et possédé si souvent.
Il sait comment la faire vibrer sous ses doigts agiles ou sa langue habile. Il sait reconnaître tous les signes qui ne le trompent pas et qui l'aident à la faire monter au 7ème ciel.
Il écoute sa respiration, il guette le moindre sursaut de ce corps si agréable à ses yeux.
Il attend le moment propice où elle lâche prise et se laisse emporter par un orgasme foudroyant.
Çà y est, ce moment est là ! Il s'en régale.

Elle s'agrippe à son épaule et laisse échapper ses cris de jouissance qu'elle ne peut plus contenir tellement son plaisir est dévastateur.
Il retire ses doigts et la laisse reprendre son souffle. Son corps se relâche peu à peu, elle ouvre les yeux et le regarde avec gratitude. Un immense sourire vient d'apparaître sur son magnifique visage.
Il la regarde tendrement et l'embrasse comme si elle était une chose fragile. Il lui murmure à l'oreille que jamais il ne cesserait de l'aimer.
Elle lui dit qu'elle l'aime aussi et elle commence à caresser par-dessus le pantalon ce sexe si gonflé de désir, qui se sent comprimé et qui ne demande qu'à être libéré de sa prison de tissu.

Elle fait promener ses doigts le long de cette tige qui a pris des proportions tout à fait satisfaisante et elle décide de mettre fin à sa souffrance et de l'en sortir. Elle ouvre son pantalon doucement, d'abord en faisant sauter le bouton et ensuite en tirant lentement sur la braguette jusqu'en bas. Elle passe sa main à l'intérieur.
Il est haletant, déjà prêt à exploser dès qu'elle se saisi de ce membre si dur et si chaud entre ses doigts. Elle le sait, donc elle prends tout son temps pour faire retomber la pression. Elle le relâche.
Elle veut faire durer les choses, elle veut le sentir jouir en elle. Peu importe l'endroit qu'il choisira au moment crucial, elle le veut en elle.

Elle fini de le déshabiller, faisant passer son T-shirt au-dessus de sa tête, et joue à faire courir ses doigts sur ses épaules et ses bras aux muscles saillants, puis les fait descendre sur son torse et enfin son ventre.
Elle adore suivre avec son doigt la ligne de poils qui part d'en-dessous de son nombril et qui fini sa course sur le pubis. Elle le dévore des yeux, il se trouve maintenant dans le plus simple appareil sous ses yeux gourmands. Elle voudrait le lécher, tellement elle le trouve appétissant.
Mais elle résiste, elle patiente. Elle sait qu'elle l'aura tôt ou tard.

Ils'avance vers elle avec un regard qui en dit long, elle se fige...
Il ne la lâche pas des yeux, un regard puissant qui en dit long sur ses intentions.
Elle devine tout de suite que çà y est, à ce moment précis, il devient cet homme qu'elle adore par-dessus tout.
Il n'est plus l'amant délicat de tout à l'heure, comme en témoigne son regard de braise.
Dans ses yeux, elle peut y voir toute la férocité dont il sait faire preuve lorsqu'il la veut Sienne, totalement abandonnée.
Qu'elle ne soit plus la douce et fragile compagne dont l'air si innocent laisse pourtant apercevoir que en-dessous, une tigresse sommeille, et qu'il faut à tout prix la réveiller et la laisser s'exprimer.

Elle sait comment il la souhaite, comment il veut qu'elle soit...
Alors elle le regarde droit dans les yeux avec un air provocateur tout en suçant son index comme si elle suçait sa belle et grosse queue bien dure. Elle ressort son doigt de la bouche et se met à le lécher comme si elle le léchait, lui.
Elle pousse son vice un peu plus loin en imitant à la perfection cette fellation imaginaire, et en poussant volontairement des soupirs salaces, gourmands et plus qu'évocateurs.
Il adore ce qu'il voit, elle lui donne terriblement envie, et il sait qu'il ne pourra pas résister bien longtemps. Aussi, il se décide à reprendre rapidement les choses en main.
Il se tient maintenant en face d'elle, et sans crier gare, lui prend le menton fermement entre son pouce et son index et lui fait relever la tête pour que leurs yeux se trouvent.

Il lui lance un regard qui veut absolument tout dire. Çà ne va pas être tendre. Elle le sait, elle veux qu'il en soit ainsi.
Elle est déjà pantelante de désir, et n'aspire qu'à une chose, servir pour son plaisir à lui.
Il lui fait tourner la tête sur le côté pour lui glisser à l'oreille, doucement mais suffisamment fort pour qu'elle le comprenne bien qu'il la veut chienne, il veut qu'elle soit la plus salope des salopes et qu'il n'arrêtera pas tant qu'il n'en aurait pas fini avec elle.

Elle se sent frémir d'excitation. Le poids de ses mots font monter en elle une douce vague de chaleur qu'elle seule peut ressentir, et elle sent son jus commencer à couler le long de ses cuisses.
Comme s'il lisait dans les pensées de sa belle, il vérifie aussitôt son état d'excitation en insérant deux doigts en elle, et peut constater avec bonheur qu'elle est déjà prête à le recevoir.
Un large sourire s'affiche sur son visage, elle le lui rend timidement.
Il lui fait lécher ses doigts enduits de son jus. Elle sort sa langue avec malice et nettoie ses souillures en savourant le goût de son propre plaisir.
Elle sait comment se comporter dans ces cas-là, et elle sait qu'elle va tout faire pour le satisfaire.

Il se recule, et lui ordonne de s'agenouiller.
Elle s'exécute immédiatement. Elle sait qu'elle ne doit pas le faire attendre. Il n'aime pas çà. Elle n'aime pas le décevoir.
Une fois en position, elle baisse le regard automatiquement. Elle ne doit pas le regarder directement dans les yeux tant qu'il ne lui a pas donné l'autorisation.
Elle attend patiemment son bon vouloir. Il la fait attendre volontairement. Çà ne fait que renforcer son désir pour lui. Il lui dit de ne pas bouger, qu'il revient.

Il se dirige dans le couloir qui mène à leur chambre et en revient quelques instants après.
Elle n'a toujours pas levé les yeux, donc elle ne peut pas voir qu'il est allé chercher le collier et la laisse, leurs deux objets fétiches de leurs moments si intenses lors de leurs séances ludiques.
Mais elle le sait. Elle connaît parfaitement leurs rituels instaurés depuis qu'ils pratiquent le BDSM. Leur relation D/s renforce leurs sentiments qu'ils éprouvent l'un pour l'autre depuis qu'ils se connaissent.

Elle attend. Elle l'attend.
Elle sait qu'il peut la laisser de longs moments ainsi, dans cette position qui à la longue, devient vite inconfortable due à la rudesse du carrelage.
Mais qu'importe, elle a su acquérir au fil du temps, au fil de leurs séances, une résistance presque à toute épreuve.
Il aime la voir ainsi, elle sait qu'elle est forte. Mais il savoure de la laisser comme çà. Il fait prolonger le plaisir de la voir ainsi docile pour un petit moment encore.
Puis il décide qu'il est temps, alors il lui passe solennellement le collier autour de son cou si délicat. Puis y accroche la laisse, composée d'une chaîne en métal qui finit par une lanière en cuir. Leurs deux matières préférées.

Immédiatement, il tire sur la laisse vers le bas, ce qui fait instantanément baisser celle qu'il aime devenue maintenant soumise, vers le sol.
Elle adopte aussitôt la position qu'il veut. Toujours à genoux, mais le front posé au sol, les bras tendus devant elle.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'il était aussi allé chercher sa cravache, sa favorite, celle en cuir marron.
Aussi est-elle surprise lorsqu'elle sent le bout de la cravache flatter ses fesses rebondies. Elle adore le contact de ce petit bout de cuir qui effleure sa peau.
Elle anticipe déjà le coup vif mais si bon, qu'il sait si bien lui donner pour échauffer sa peau si rose, tellement bien qu'elle se sent avoir la chair de poule. Elle ne peut s'empêcher de se tortiller légèrement sous les caresses de cet instrument si plaisant.

Il veut en jouer. Si bien qu'un premier coup s'abat sur une fesse, puis sur l'autre.
Le coup n'est que très léger, elle le sait bien. Il se retient car il veut juste l'émoustiller un peu plus, pas la punir.
Il refait courir le bout de la cravache sur son corps en demande, mais plus haut cette fois, il s'attarde sur sa colonne, monte jusqu'aux omoplates, et redescend jusqu'en bas de cette chute de rein vertigineuse. Et repart... Encore... Et encore...
Elle gémit, elle ronronne de bonheur. Elle est là, haletante, pantelante, en attente de lui, de sa queue. Elle le veut, là, tout de suite.

Il tire sur la laisse pour la faire se redresser. Elle est toujours à genoux mais elle se trouve maintenant à hauteur de son entrejambe qui distend la toile de son jean tellement son sexe est bandé. Il lui dit alors de cette voix ferme mais sensuelle : «Touche-moi ! »
Oh, quels mots divins, elle n'en attendait pas moins. Vu qu'elle a les mains libres, elle peut à loisir le toucher, le palper, le caresser tout son soûl.
Elle commence par poser ses mains sur ses cuisses et remonte légèrement.
Voyant qu'elle prend tout son temps et il sait que c'est sûrement fait exprès pour le provoquer un peu, il tire un peu plus sur la laisse, ce qui lui fait relever la tête et tout en la fixant droit dans les yeux, lui ordonne :
«Touche-moi, Salope ! Maintenant ! Sinon tu vas goûter à ma cravache pour de vrai, et ça te sera bien moins agréable ! »

Elle le regarde avec un air coquin, et elle arrête son petit jeu. Elle pose fermement sa main droite sur ce membre conséquent qui ne demande qu'à sortir et commence à caresser, à flatter, à faire gonfler encore plus ce superbe spécimen de virilité.
Puis elle commence à ouvrir ce pantalon qui devient indésirable.
Elle veut l'objet de ses désirs, elle veut l'avoir en main, l'avoir sous ses yeux, dans sa bouche, en elle. Partout...

Elle pousse un « Hummm » de gourmandise quand elle aperçoit enfin ce qu'elle convoite tant, ce dont elle ne peux maintenant plus se passer. Elle se lèche les lèvres. Et sort le bout de sa langue.
Tout en le regardant dans les yeux, elle prend en main cette bite magnifique, et elle lèche toute la longueur, en partant des couilles et en remontant jusqu'au gland, qu'elle gratifie d'un doux baiser.
Puis elle titille le frein avec sa langue coquine et agile, elle sait ô combien il adore çà, çà lui fait perdre tous ses moyens. Elle en profite et s'attarde sur ce point sensible. Puis continue à explorer ce sexe dur comme du marbre, qui commence à secréter une goutte de liquide séminal qu'elle s'empresse de lécher. Elle se régale. Il pousse de longs soupirs d'extase, mais il veut plus.

Alors il lui prend la tête entre ses mains puissantes, et lui fourre sa queue dans la bouche en donnant le rythme. Elle a compris le message et s'active comme une délurée sur ce morceau de chair palpitant qui ne demande qu'à cracher sa semence.
Mais pas tout de suite. Il se retire. Elle est déçue, elle aurait tant aimé le faire gicler au fond de sa gorge.
Il la tient toujours fermement au bout de la laisse et commence à se diriger en direction de la chambre. Elle n'a pas d'autre choix que de se mettre à 4 pattes et de le suivre docilement.
Une fois arrivés au pied du lit, il lui enlève la laisse et lui dit de se coucher sur le lit, mais sur le ventre. Elle obéit.
Elle devine comment il va la prendre et elle en coule de plaisir. Elle dégouline de mouille, qui ruisselle sur ses jambes.
Elle n'en peux plus, il faut qu'il la prenne, n'importe comment, mais qu'il le fasse et vite. Mais elle s'abstient bien de lui en faire part, elle ne voudrait pas risquer de le mettre en colère. Elle ne voudrait pas récolter une punition.

Il monte sur le lit derrière elle. Elle sent le poids de son corps s'enfoncer dans le matelas autour d'elle quand il prend appui sur les genoux afin de pouvoir lui attacher les mains aux montants du lit.
Ils gardent en permanence des menottes accrochées aux coins du lit afin de gagner du temps, si un besoin pressant se faisait ressentir. Et ce soir-là, c'est le cas.
Il attrape sa main droite et referme la menotte autour de son poignet. Le métal froid lui mord la peau et laisse déjà des traces. Elle adore. Il fait pareil avec l'autre. Il s'assure qu'elle ne peut passe libérer. C'est parfait. Il peut maintenant passer aux choses sérieuses.

Toujours placé derrière elle, il caresse son corps de ses mains fermes et puissantes. Il lui provoque des frissons dans l'échine, la faisant gémir. Des gémissements presque suppliants.
Il ne veut pas la faire attendre plus longtemps car elle a été sage et aussi parce que lui aussi n'en peux plus. Il faut qu'il la prenne, çà en devient non plus une envie, mais un besoin presque vital.
Alors sans plus attendre, il se positionne entre ses jambes, lui faisant du coup écarter au maximum, et place le bout de sa queue à l'entrée de sa chatte détrempée.
Elle pousse un ouf de soulagement quand il la pénètre jusqu'à la garde. Il se retire tout aussi doucement qu'il était rentré, et d'un coup franc, replonge à l'intérieur.
Elle n'a pas le temps de se remettre des premiers coups de boutoir que déjà, il la pilonne sans merci.
Elle adore, elle savoure, elle est presque au bord de la jouissance tellement c'est bon.

Il le sait, il le remarque à la façon dont les muscles internes de sa chatte se contractent autour de sa queue, et si çà continue comme çà, il ne va pas pouvoir se retenir plus longtemps, et il ne veut pas venir tout de suite, alors il se retire.
Elle en est surprise et frustrée d'avoir été amenée au bord de l'extase et d'en être empêchée si brusquement.
Elle n'ose tourner la tête en arrière pour voir ce qu'il fait. Elle se contente d'attendre patiemment qu'il la prenne en pitié et achève son envie de lui.
Soudain, elle entend le son de sa voix qui lui incombe de présenter son cul bien haut. Elle se redresse sur ses genoux, pose sa joue contre le matelas et lui expose ses fesses bien relevées.
Se montrant à lui ainsi offerte, elle sent encore plus la moiteur de son antre se répandre en elle, la chaleur l'envahit et elle n'attend plus que lui, elle attend... Encore !


Cette vision superbe le ravi. Il lui agrippe ses fesses bien rondes, bien fermes, et il laisse promener ses mains, lentement, vicieusement, il se rapproche de son intimité et se délecte de voir combien elle mouille pour lui.
Il ne peut plus attendre, il veut la posséder et la faire hurler. Alors, il s'enfonce sans sommation en elle, s'agrippant à une hanche tout en laissant sa main libre courir sur ses fesses. Et lui assène une gifle cuisante sur son cul, qui prend aussitôt une belle teinte rose foncé, bien plus que la carnation naturelle de sa peau.
Elle sursaute. Elle est heureuse, c'est exactement ce qu'elle voulait. Elle subit avec honneur ses assauts et sait que très bientôt, ils vont se laisser aller à l'explosion de leur plaisir.
Il la pilonne sans vergogne, il se laisse aller totalement à son excitation qui culmine au plus haut. Il sait que bientôt il ne tiendra plus, que ces orifices si accueillants auront tôt ou tard raison de lui.
Mais avant çà, il veut la posséder par tous les trous, et c'est tout naturellement qu'il se retire et vient se positionner devant son petit trou si appétissant.
Il n'a même pas à forcer, elle est tellement offerte que çà s'ouvre tout seul et laisse entrer ce superbe engin. Elle ne ressent aucune douleur face à cette intrusion tellement elle est excitée.
Elle remue son bassin pour lui faire comprendre qu'elle le veut tout entier au fond d'elle.

Il ne se fait pas attendre, et attaque aussitôt un rythme effréné dans ses entrailles. Elle se cambre du mieux qu'elle peux pour lui donner la profondeur de pénétration idéale et ainsi pouvoir l'amener au plaisir suprême.
Il ne lui en faut pas plus pour qu'il parte dans un orgasme fulgurant, dévastateur. Elle le suit juste après, tremblant de tous ses membres pendant qu'il se déverse en elle.
Elle sent la chaleur de son sperme l'inonder. La queue encore raide n'en fini pas de se vider alors que sa chatte se comprime encore, prise par les spasmes de la jouissance.
Tout n'est plus que corps en chaleur, cris et souffles haletants.

Et enfin, le retour au calme, les esprits reviennent dans leurs enveloppes corporelles.
Puis le silence, les deux amoureux sont à nouveau tendres et passionnés.
Il lui détache les mains, lui masse les poignets alors qu'ils sont tous deux maintenant allongés l'un contre l'autre et c'est ainsi, qu'épuisés par leur passion dévorante et leurs ébats torrides, ils s'endorment sereins et apaisés.

J'espère que ce texte vous a plu, n'hésitez pas à me laisser vos impressions.

10 commentaires:

  1. j'ai adore..tres bien écrit et décrit ca sent le vecu et c'estbon!

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  2. superbe moment de lecture ou l'émotion provoquée, le désir provoqué a dirigé ma main sur mon sexe pour le libérer de tant d'envies provoquées, merci pour ce beau plaisir.
    Mitica

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  3. Très joli texte, superbement détaillé qui nous emmènent au coeur de l'histoire comme ci nous étions les acteurs principaux , bravo pour cette belle histoire qui réveille certains désirs. Superbe plume que tu as là

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  4. je m'y croyais, beaucoup de plaisir devant ce texte j'ai pris
    Valérie

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    1. Merci beaucoup, contente de t'avoir un peu transportée avec ce texte !

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  5. bonjour un superbe texte a l'érotisme exacerbé, très vivant, on s'y croirait, c'est très stimulant, quel talent bravo et merci
    pascal

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