Si déjà, le thème ne vous plaît pas, vous êtes priés de passer votre chemin. Vous voilà prévenus ! A ceux qui sont encore là, bonne lecture !
(Je rappelle que les photos ne sont pas de moi)
Dehors,il
pleut !
On
peut aisément entendre le bruit de la pluie battante qui vient
s'écraser sur les carreaux des fenêtres.
Les
rafales d'un vent léger s'engouffrent en sifflant par le bas de
l'encadrement de la fenêtre, qui devient vétuste avec le
temps,comme le reste de cette maison...
Il
est 2h du matin et elle vient de se réveiller. Le souffle du vent
l'a sortie d'un sommeil réparateur.
L'instant
avant qu'ils s'endorment, ils étaient en train de célébrer leur
amour en baisant comme à leur habitude.
Cela
fait plusieurs années qu'ils se connaissent et quelques années de
vie commune, et ils s'aiment encore comme au premier jour.
Juste
avant de s'endormir, il l'a prise comme elle aime, comme il aime...
D'abord, tendrement,
amoureusement, puis au fil de leurs ébats, lorsque son plaisir monte
à son apogée, il se transforme, et devient un animal, cette bête
lubrique qui la fait tant hurler de plaisir.
Tout
d'abord, bien avant les préliminaires, il tente une approche. Elle
fait semblant de ne pas vouloir y succomber, ils se cherchent, ils
jouent, ils adorent çà !
Tels deux adolescents qui se découvrent, ils chahutent, ils se courent
après, ils rient aux éclats puis ils se frôlent, et là, çà
dérape. Tout devient caresses et volupté...
Il
l'a attrapée, elle a cessé de faire semblant de vouloir lui
échapper.
Il
la tient fermement dans ses bras, elle est bien. Leurs regards se
croisent, puis se figent.
Leurs
respirations, essoufflées par leur course autour des meubles dans la
maison, s'apaisent.
Mais
leurs battements de cœur sont de plus en plus irréguliers, la
tension sexuelle qui règne alors dans l'atmosphère est
palpable, presque insoutenable...
Elle
est toujours dans ses bras, et elle ne cherche plus à s'enfuir. Elle
aime sentir sa force et sa puissance qui l'entoure, et qui lui font
comprendre que çà ne sert à rien de vouloir contrer çà, qu'elle
n'en aurait pas l'occasion, même si elle le voulait.
Elle
se contente alors de se laisser aller à la passion, et lui attrape
le visage entre ses mains douces et délicates et pose un doux baiser
sur ses lèvres.
Il
répond amoureusement à ce chaste baiser, avant de lui rendre la
pareille, et ainsi, furtivement, le baiser se fait plus
voluptueux, les lèvres s'entrouvrent et laissent place aux langues
affamées, qui se cherchent, qui se trouvent et qui s'enlacent.
Commence
alors un ballet sensuel entre ces deux langues vicieuses qui se
tournent autour, les lèvres gourmandes qui se chevauchent et on
entend alors plus que de longs soupirs et des gémissements encore
discrets.
Les
bras s'étreignent, les mains se font baladeuses. Rien n'est laissé
au hasard, tout est fait pour faire monter la température
rapidement.
Les
corps sont maintenant serrés l'un contre l'autre, se frottant
langoureusement et obscènement.
Il
fait aussitôt descendre ses mains qui palpaient les fesses charnues
et rebondies de sa belle, à hauteur des cuisses qu'il empoigne
fermement pour pouvoir la soulever et la faire asseoir sur la table
de la cuisine. La position fait automatiquement relever sa jupe
courte sur ses hanches et laisse découvrir son entrejambe. Il peut
maintenant à loisirs se repaître de cette vue qu'il adore. Il
devine le sexe de sa douce à travers son sous-vêtement et cette
vision ne fait qu'accroître son envie.
Elle
est à hauteur du bassin de l'homme qu'elle aime et peut aisément
deviner à la bosse que fait son sexe à travers son pantalon,
l'excitation qui habite le jeune homme.
Elle s'en
mord la lèvre inférieure, car elle sait que dans peu de temps, elle
va y avoir droit au plus profond de son intimité.
Rien
que de penser à l'idée d'avoir en elle ce sexe si majestueux
qu'elle aime tant, elle se sent couler de désir. Elle sent alors
l'humidité l'envahir et venir tremper le fond de son string.
Elle
le désire, elle le veux. Maintenant. Elle le lui fait savoir en le
prenant par les hanches et le plaquant contre sa chatte encore
recouverte de ce mince voile de tissu la séparant de l'objet qu'elle
convoite tant.
Elle
se frotte sensuellement contre ce sexe maintenant si dur, que çà
pourrait presque lui faire mal tellement il est bandé.
Elle
a croisé ses jambes autour de ses cuisses pour le maintenir tout
contre elle, et leurs langues et leurs mains ont repris leur ballet
amoureux.
Ils
se détachent enfin au bout d'un moment. Ils sont essoufflés, ils
sont affamés du corps de l'autre.
Tous
leurs sens sont en éveil. Leurs sexes réclament celui de l'autre.
Sa
queue gonflée de désir, tressaute dans cet étau devenu trop étroit
sous son jean.
Sa
chatte est déjà ruisselante de mouille, et il n'a eu qu'à écarter
cette fine lingerie devenue purement décorative sur le côté et
d'introduire vivement deux doigts à l'intérieur de cette chaude et
étroite fournaise pour provoquer en elle de légers spasmes de
plaisir.
Il
fait de lents va-et-viens dans ce sexe trempé de désir et cherche
du bout des doigts son point sensible. Il le trouve immédiatement.
Il connaît si bien ce corps qu'il a exploré et possédé si
souvent.
Il
sait comment la faire vibrer sous ses doigts agiles ou sa langue
habile. Il sait reconnaître tous les signes qui ne le trompent pas
et qui l'aident à la faire monter au 7ème ciel.
Il
écoute sa respiration, il guette le moindre sursaut de ce corps si
agréable à ses yeux.
Il
attend le moment propice où elle lâche prise et se laisse emporter
par un orgasme foudroyant.
Çà
y est, ce moment est là ! Il s'en régale.
Elle
s'agrippe à son épaule et laisse échapper ses cris de jouissance
qu'elle ne peut plus contenir tellement son plaisir est dévastateur.
Il
retire ses doigts et la laisse reprendre son souffle. Son corps se
relâche peu à peu, elle ouvre les yeux et le regarde avec
gratitude. Un immense sourire vient d'apparaître sur son magnifique
visage.
Il
la regarde tendrement et l'embrasse comme si elle était une chose
fragile. Il lui murmure à l'oreille que jamais il ne cesserait de
l'aimer.
Elle
lui dit qu'elle l'aime aussi et elle commence à caresser par-dessus
le pantalon ce sexe si gonflé de désir, qui se sent comprimé et
qui ne demande qu'à être libéré de sa prison de tissu.
Elle
fait promener ses doigts le long de cette tige qui a pris des
proportions tout à fait satisfaisante et elle décide de mettre
fin à sa souffrance et de l'en sortir. Elle ouvre son pantalon
doucement, d'abord en faisant sauter le bouton et ensuite en tirant
lentement sur la braguette jusqu'en bas. Elle passe sa main à
l'intérieur.
Il
est haletant, déjà prêt à exploser dès qu'elle se saisi de ce
membre si dur et si chaud entre ses doigts. Elle le sait, donc elle
prends tout son temps pour faire retomber la pression. Elle le
relâche.
Elle
veut faire durer les choses, elle veut le sentir jouir en elle. Peu
importe l'endroit qu'il choisira au moment crucial, elle le veut en
elle.
Elle
fini de le déshabiller, faisant passer son T-shirt au-dessus de sa
tête, et joue à faire courir ses doigts sur ses épaules et ses
bras aux muscles saillants, puis les fait descendre sur son torse et
enfin son ventre.
Elle
adore suivre avec son doigt la ligne de poils qui part d'en-dessous
de son nombril et qui fini sa course sur le pubis. Elle le dévore
des yeux, il se trouve maintenant dans le plus simple appareil sous
ses yeux gourmands. Elle voudrait le lécher, tellement elle le
trouve appétissant.
Mais
elle résiste, elle patiente. Elle sait qu'elle l'aura tôt ou tard.
Ils'avance
vers elle avec un regard qui en dit long, elle se fige...
Il
ne la lâche pas des yeux, un regard puissant qui en dit long sur ses
intentions.
Elle
devine tout de suite que çà y est, à ce moment précis, il devient
cet homme qu'elle adore par-dessus tout.
Il
n'est plus l'amant délicat de tout à l'heure, comme en témoigne
son regard de braise.
Dans
ses yeux, elle peut y voir toute la férocité dont il sait faire
preuve lorsqu'il la veut Sienne, totalement abandonnée.
Qu'elle
ne soit plus la douce et fragile compagne dont l'air si innocent
laisse pourtant apercevoir que en-dessous, une tigresse sommeille, et
qu'il faut à tout prix la réveiller et la laisser s'exprimer.
Elle
sait comment il la souhaite, comment il veut qu'elle soit...
Alors elle
le regarde droit dans les yeux avec un air provocateur tout en suçant
son index comme si elle suçait sa belle et grosse queue bien dure.
Elle ressort son doigt de la bouche et se met à le lécher comme si
elle le léchait, lui.
Elle
pousse son vice un peu plus loin en imitant à la perfection cette
fellation imaginaire, et en poussant volontairement des soupirs
salaces, gourmands et plus qu'évocateurs.
Il
adore ce qu'il voit, elle lui donne terriblement envie, et il sait qu'il ne pourra
pas résister bien longtemps. Aussi, il se décide à reprendre
rapidement les choses en main.
Il
se tient maintenant en face d'elle, et sans crier gare, lui prend le
menton fermement entre son pouce et son index et lui fait relever la
tête pour que leurs yeux se trouvent.
Il
lui lance un regard qui veut absolument tout dire. Çà ne va pas
être tendre. Elle le sait, elle veux qu'il en soit ainsi.
Elle
est déjà pantelante de désir, et n'aspire qu'à une chose, servir
pour son plaisir à lui.
Il
lui fait tourner la tête sur le côté pour lui glisser à
l'oreille, doucement mais suffisamment fort pour qu'elle le comprenne
bien qu'il la veut chienne, il veut qu'elle soit la plus salope des
salopes et qu'il n'arrêtera pas tant qu'il n'en aurait pas fini avec
elle.
Elle
se sent frémir d'excitation. Le poids de ses mots font monter en
elle une douce vague de chaleur qu'elle seule peut ressentir, et elle
sent son jus commencer à couler le long de ses cuisses.
Comme
s'il lisait dans les pensées de sa belle, il vérifie aussitôt son
état d'excitation en insérant deux doigts en elle, et peut
constater avec bonheur qu'elle est déjà prête à le recevoir.
Un
large sourire s'affiche sur son visage, elle le lui rend timidement.
Il lui fait lécher ses doigts enduits de son jus. Elle sort sa langue
avec malice et nettoie ses souillures en savourant le goût de son propre
plaisir.
Elle
sait comment se comporter dans ces cas-là, et elle sait qu'elle va
tout faire pour le satisfaire.
Il
se recule, et lui ordonne de s'agenouiller.
Elle s'exécute
immédiatement. Elle sait qu'elle ne doit pas le faire attendre. Il
n'aime pas çà. Elle n'aime pas le décevoir.
Une
fois en position, elle baisse le regard automatiquement. Elle ne doit
pas le regarder directement dans les yeux tant qu'il ne lui a pas
donné l'autorisation.
Elle
attend patiemment son bon vouloir. Il la fait attendre
volontairement. Çà ne fait que renforcer son désir pour lui. Il
lui dit de ne pas bouger, qu'il revient.
Il
se dirige dans le couloir qui mène à leur chambre et en revient
quelques instants après.
Elle n'a
toujours pas levé les yeux, donc elle ne peut pas voir qu'il est
allé chercher le collier et la laisse, leurs deux objets fétiches
de leurs moments si intenses lors de leurs séances ludiques.
Mais
elle le sait. Elle connaît parfaitement leurs rituels instaurés
depuis qu'ils pratiquent le BDSM. Leur relation D/s renforce leurs
sentiments qu'ils éprouvent l'un pour l'autre depuis qu'ils se
connaissent.
Elle
attend. Elle l'attend.
Elle
sait qu'il peut la laisser de longs moments ainsi, dans cette
position qui à la longue, devient vite inconfortable due à la
rudesse du carrelage.
Mais
qu'importe, elle a su acquérir au fil du temps, au fil de leurs
séances, une résistance presque à toute épreuve.
Il
aime la voir ainsi, elle sait qu'elle est forte. Mais il savoure de
la laisser comme çà. Il fait prolonger le plaisir de la voir ainsi
docile pour un petit moment encore.
Puis
il décide qu'il est temps, alors il lui passe solennellement le
collier autour de son cou si délicat. Puis y accroche la
laisse, composée d'une chaîne en métal qui finit par une lanière
en cuir. Leurs deux matières préférées.
Immédiatement, il
tire sur la laisse vers le bas, ce qui fait instantanément baisser
celle qu'il aime devenue maintenant soumise, vers le sol.
Elle
adopte aussitôt la position qu'il veut. Toujours à genoux, mais le
front posé au sol, les bras tendus devant elle.
Ce
qu'elle ne sait pas, c'est qu'il était aussi allé chercher sa
cravache, sa favorite, celle en cuir marron.
Aussi
est-elle surprise lorsqu'elle sent le bout de la cravache flatter ses
fesses rebondies. Elle adore le contact de ce petit bout de cuir qui
effleure sa peau.
Elle
anticipe déjà le coup vif mais si bon, qu'il sait si bien lui
donner pour échauffer sa peau si rose, tellement bien qu'elle se
sent avoir la chair de poule. Elle ne peut s'empêcher de se
tortiller légèrement sous les caresses de cet instrument si
plaisant.
Il
veut en jouer. Si bien qu'un premier coup s'abat sur une fesse, puis
sur l'autre.
Le
coup n'est que très léger, elle le sait bien. Il se retient car il
veut juste l'émoustiller un peu plus, pas la punir.
Il
refait courir le bout de la cravache sur son corps en demande, mais
plus haut cette fois, il s'attarde sur sa colonne, monte jusqu'aux
omoplates, et redescend jusqu'en bas de cette chute de rein
vertigineuse. Et repart... Encore... Et encore...
Elle
gémit, elle ronronne de bonheur. Elle est là, haletante, pantelante,
en attente de lui, de sa queue. Elle le veut, là, tout de suite.
Il
tire sur la laisse pour la faire se redresser. Elle est toujours à
genoux mais elle se trouve maintenant à hauteur de son entrejambe
qui distend la toile de son jean tellement son sexe est bandé. Il
lui dit alors de cette voix ferme mais sensuelle : «Touche-moi
! »
Oh,
quels mots divins, elle n'en attendait pas moins. Vu qu'elle a les
mains libres, elle peut à loisir le toucher, le palper, le caresser
tout son soûl.
Elle
commence par poser ses mains sur ses cuisses et remonte légèrement.
Voyant
qu'elle prend tout son temps et il sait que c'est sûrement fait
exprès pour le provoquer un peu, il tire un peu plus sur la
laisse, ce qui lui fait relever la tête et tout en la fixant droit
dans les yeux, lui ordonne :
«Touche-moi,
Salope ! Maintenant ! Sinon tu vas goûter à ma cravache pour de
vrai, et ça te sera bien moins agréable ! »
Elle
le regarde avec un air coquin, et elle arrête son petit jeu. Elle
pose fermement sa main droite sur ce membre conséquent qui ne
demande qu'à sortir et commence à caresser, à flatter, à faire
gonfler encore plus ce superbe spécimen de virilité.
Puis
elle commence à ouvrir ce pantalon qui devient indésirable.
Elle
veut l'objet de ses désirs, elle veut l'avoir en main, l'avoir sous
ses yeux, dans sa bouche, en elle. Partout...
Elle
pousse un «
Hummm » de
gourmandise quand elle aperçoit enfin ce qu'elle convoite tant, ce
dont elle ne peux maintenant plus se passer. Elle se lèche les
lèvres. Et sort le bout de sa langue.
Tout
en le regardant dans les yeux, elle prend en main cette bite
magnifique, et elle lèche toute la longueur, en partant des couilles
et en remontant jusqu'au gland, qu'elle gratifie d'un doux baiser.
Puis
elle titille le frein avec sa langue coquine et agile, elle sait ô
combien il adore çà, çà lui fait perdre tous ses moyens. Elle en
profite et s'attarde sur ce point sensible. Puis continue à explorer
ce sexe dur comme du marbre, qui commence à secréter une goutte de
liquide séminal qu'elle s'empresse de lécher. Elle se régale. Il
pousse de longs soupirs d'extase, mais il veut plus.
Alors
il lui prend la tête entre ses mains puissantes, et lui fourre sa
queue dans la bouche en donnant le rythme. Elle a compris le message
et s'active comme une délurée sur ce morceau de chair palpitant
qui ne demande qu'à cracher sa semence.
Mais pas
tout de suite. Il se retire. Elle est déçue, elle aurait tant aimé
le faire gicler au fond de sa gorge.
Il
la tient toujours fermement au bout de la laisse et commence à se
diriger en direction de la chambre. Elle n'a pas d'autre choix que de
se mettre à 4 pattes et de le suivre docilement.
Une
fois arrivés au pied du lit, il lui enlève la laisse et lui dit de
se coucher sur le lit, mais sur le ventre. Elle obéit.
Elle
devine comment il va la prendre et elle en coule de plaisir. Elle
dégouline de mouille, qui ruisselle sur ses jambes.
Elle n'en
peux plus, il faut qu'il la prenne, n'importe comment, mais qu'il le
fasse et vite. Mais elle s'abstient bien de lui en faire part, elle
ne voudrait pas risquer de le mettre en colère. Elle ne voudrait pas
récolter une punition.
Il
monte sur le lit derrière elle. Elle sent le poids de son corps
s'enfoncer dans le matelas autour d'elle quand il prend appui sur les
genoux afin de pouvoir lui attacher les mains aux montants du lit.
Ils
gardent en permanence des menottes accrochées aux coins du lit afin
de gagner du temps, si un besoin pressant se faisait ressentir. Et ce
soir-là, c'est le cas.
Il
attrape sa main droite et referme la menotte autour de son poignet.
Le métal froid lui mord la peau et laisse déjà des traces. Elle
adore. Il fait pareil avec l'autre. Il s'assure qu'elle ne peut passe
libérer. C'est parfait. Il peut maintenant passer aux choses
sérieuses.
Toujours
placé derrière elle, il caresse son corps de ses mains fermes et
puissantes. Il lui provoque des frissons dans l'échine, la faisant
gémir. Des gémissements presque suppliants.
Il
ne veut pas la faire attendre plus longtemps car elle a été sage et
aussi parce que lui aussi n'en peux plus. Il faut qu'il la prenne, çà
en devient non plus une envie, mais un besoin presque vital.
Alors
sans plus attendre, il se positionne entre ses jambes, lui faisant du
coup écarter au maximum, et place le bout de sa queue à l'entrée
de sa chatte détrempée.
Elle
pousse un ouf de soulagement quand il la pénètre jusqu'à la
garde. Il se retire tout aussi doucement qu'il était rentré, et d'un
coup franc, replonge à l'intérieur.
Elle n'a
pas le temps de se remettre des premiers coups de boutoir que déjà,
il la pilonne sans merci.
Elle
adore, elle savoure, elle est presque au bord de la jouissance
tellement c'est bon.
Il le
sait, il le remarque à la façon dont les muscles internes de sa
chatte se contractent autour de sa queue, et si çà continue comme
çà, il ne va pas pouvoir se retenir plus longtemps, et il ne veut
pas venir tout de suite, alors il se retire.
Elle
en est surprise et frustrée d'avoir été amenée au bord de
l'extase et d'en être empêchée si brusquement.
Elle n'ose
tourner la tête en arrière pour voir ce qu'il fait. Elle se
contente d'attendre patiemment qu'il la prenne en pitié et achève
son envie de lui.
Soudain, elle
entend le son de sa voix qui lui incombe de présenter son cul bien
haut. Elle se redresse sur ses genoux, pose sa joue contre le matelas
et lui expose ses fesses bien relevées.
Se
montrant à lui ainsi offerte, elle sent encore plus la moiteur de
son antre se répandre en elle, la chaleur l'envahit et elle n'attend
plus que lui, elle attend... Encore !
Cette
vision superbe le ravi. Il lui agrippe ses fesses bien rondes, bien
fermes, et il laisse promener ses mains, lentement, vicieusement, il
se rapproche de son intimité et se délecte de voir combien elle
mouille pour lui.
Il
ne peut plus attendre, il veut la posséder et la faire hurler.
Alors, il s'enfonce sans sommation en elle, s'agrippant à une hanche
tout en laissant sa main libre courir sur ses fesses. Et lui assène
une gifle cuisante sur son cul, qui prend aussitôt une belle teinte
rose foncé, bien plus que la carnation naturelle de sa peau.
Elle
sursaute. Elle est heureuse, c'est exactement ce qu'elle voulait.
Elle subit avec honneur ses assauts et sait que très bientôt, ils
vont se laisser aller à l'explosion de leur plaisir.
Il
la pilonne sans vergogne, il se laisse aller totalement à son
excitation qui culmine au plus haut. Il sait que bientôt il ne
tiendra plus, que ces orifices si accueillants auront tôt ou tard
raison de lui.
Mais avant çà, il veut la posséder par tous les trous, et c'est tout
naturellement qu'il se retire et vient se positionner devant son
petit trou si appétissant.
Il
n'a même pas à forcer, elle est tellement offerte que çà s'ouvre
tout seul et laisse entrer ce superbe engin. Elle ne ressent aucune
douleur face à cette intrusion tellement elle est excitée.
Elle
remue son bassin pour lui faire comprendre qu'elle le veut tout
entier au fond d'elle.
Il
ne se fait pas attendre, et attaque aussitôt un rythme effréné
dans ses entrailles. Elle se cambre du mieux qu'elle peux pour lui
donner la profondeur de pénétration idéale et ainsi pouvoir
l'amener au plaisir suprême.
Il
ne lui en faut pas plus pour qu'il parte dans un orgasme fulgurant,
dévastateur. Elle le suit juste après, tremblant de tous ses
membres pendant qu'il se déverse en elle.
Elle
sent la chaleur de son sperme l'inonder. La queue encore raide n'en
fini pas de se vider alors que sa chatte se comprime encore, prise
par les spasmes de la jouissance.
Tout
n'est plus que corps en chaleur, cris et souffles haletants.
Et
enfin, le retour au calme, les esprits reviennent dans leurs
enveloppes corporelles.
Puis
le silence, les deux amoureux sont à nouveau tendres et passionnés.
Il
lui détache les mains, lui masse les poignets alors qu'ils sont tous
deux maintenant allongés l'un contre l'autre et c'est
ainsi, qu'épuisés par leur passion dévorante et leurs ébats
torrides, ils s'endorment sereins et apaisés.
J'espère que ce texte vous a plu, n'hésitez pas à me laisser vos impressions.
j'ai adore..tres bien écrit et décrit ca sent le vecu et c'estbon!
RépondreSupprimerRavie que ça t'ai plu !
Supprimersuperbe moment de lecture ou l'émotion provoquée, le désir provoqué a dirigé ma main sur mon sexe pour le libérer de tant d'envies provoquées, merci pour ce beau plaisir.
RépondreSupprimerMitica
Très intense et émouvant, merci
RépondreSupprimerMerci de m'avoir lue ! Ravie que ça t'ai plu !
SupprimerTrès joli texte, superbement détaillé qui nous emmènent au coeur de l'histoire comme ci nous étions les acteurs principaux , bravo pour cette belle histoire qui réveille certains désirs. Superbe plume que tu as là
RépondreSupprimerMerciiiiiiii !
Supprimerje m'y croyais, beaucoup de plaisir devant ce texte j'ai pris
RépondreSupprimerValérie
Merci beaucoup, contente de t'avoir un peu transportée avec ce texte !
Supprimerbonjour un superbe texte a l'érotisme exacerbé, très vivant, on s'y croirait, c'est très stimulant, quel talent bravo et merci
RépondreSupprimerpascal